Ongaku ga daisuki yo (J’aime la musique)

Ok, mea culpa. Ça fait déjà 3 semaines que je n’ai pas écrit d’article. Quel est le premier sujet qui me tombe entre les mains? La J-Pop. Pour une brute barbue qui aime le folk et la tourbe, quel univers!

En fait, j’ai toujours eux une relation amour-haine avec la J-Pop. Tout a commencé en 1994, à la Polyvalente de Beauharnois, où j’ai rencontré l’ultime geek. Je suis allé dans un de ses partys dans lequel une gang de gars écoute du hentai et joue à un genre de jeux de rôles où il faut que tu baises pour avoir tes EXP. Toast au beurre de pinottes, root beer, karaoke japonais. Ça commence mal.

1998, je veux jouer à Warcraft 2 et je dois aller chercher la copie chez un ami d’ami. J’entre chez le dit ami qui me retient pour écouter la version symphonique de la trame sonore de Final Fantasy 6 et sa collection (trop immense selon moi) de jeunes chanteuses nymphettes nippones. Ça sent le geek en papier usé. NEXT!.

2005, je fais de la radio universitaire et recherche du rockabilly japonais. Je sais qu’il y en a beaucoup. Ma partenaire radiophonique dérape vers le J-Pop, me montre des vidéos et pointe des chanteuses en disant : « Tu la f*****ais-tu, elle? » Les 6 heures de recherche musicale les plus longues de ma vie, après ma recherche sur le syndrôme d’Helmut Lotti.

Depuis le GeekFest, j’ai dans la tête une chanson qui a joué lors du concours de Cosplay. La recherche n’a pas aboutie, mais je vous présente 2 cours vidéo qui m’ont permis de me réconcilier.

Voici d’abord un mélange entre du No FX et Aqua.

Avec la prochaine toune, j’ai l’impression d’être prisonnier de Katamari Damacy où les chanteuses arrêtent pas de dire « CHOQ.FM! »

Un beat bonbon, des jolies japonaises en costume,  des chorégraphies parfois boiteuses et plein de couleurs. Qui ne peut pas sourire?

– Erikku-Eric Gagnon