Auteur : Maxime

Sublime frustration envers la NASA

damewse est un canadien qui est plus que déçu par les communications complètement inefficaces de la NASA. Il juge plus qu’important la perception qu’a le public vis-à-vis l’agence, puisque son financement en dépend. Mais, bien qu’elle soit garnie de certains des plus grands génies de notre planète, l’agence est plus qu’inadaptée quand vient le temps d’utiliser les réseaux sociaux et autres médias de masse. Il a une multitude d’idées de marketing pour l’agence qu’il conserve dans un document Word intitulé NASAideas.doc, mais il croit qu’elle n’en a rien à … et qu’elle n’aurait de toute façon aucunement les fonds pour les mettre en place. Il en a du moins matérialisée une de lui-même, ce vidéo :

– ‘xim Sauriol

P.S. Voici un très intéressant article de CNN intitulé Why we need a Hubble for the seas qui clame que l’exploration spatiale se fait au détriment de l’exploration des profondeurs océanes.

Une caméra de chair et de sang

Stephen Wiltshire est une vedette. Du moins auprès des savants. Pourquoi? Parce qu’il est autiste et donc qu’il est un pur génie dans une sphère quelconque. Son don est d’être une caméra humaine; alors qu’il était âgé de 11 ans, il a dessiné une parfaite reproduction aérienne de Londres après un seul tour d’hélicoptère. Il faut dire qu’il adore dessiner, les premiers mots qu’il prononça sont Pencil et Paper. Dans le vidéo ci-dessous, il réitère cet exploit avec la ville éternelle (Rome).  

– ‘xim Sauriol

Visite guidé de Bethesda Game Studios

Lors d’une récente visite de Game Informer au quartier général de Bethesda Game Studios. Todd Howard, le directeur, a fait une visite guidée de leurs tout nouveaux bureaux. La compagnie planche actuellement sur la création d’Elder Scrolls V: Skyrim dans un superbe environnement. La visite déborde d’ardeur au travail, de coups de pied, de bonnes bouffes de cafétéria… mais surtout de quelques bribes du jeu à venir, dont une carte de l’univers de Skyrim. 

– ‘xim Sauriol

SUCKADELIC : une pathétique et emmerdante exposition!

Si malheureusement vous êtes pris dans un trou perdu appelé New York entre le 12 et le 23 janvier, ne demandez surtout pas à votre chauffeur de taxi ou vos pas de vous mener au 521 W 23RD ST. It’s a trap! Vous serez dans le piège du SUPER SUCKLORD. C’est que la galerie pop-up Boo-Hooray, malgré leur manque total d’intérêt et d’envie, y présente la toute première et certainement dernière rétrospective complète des abominablement atroces (pour ne pas dire nul à chier) détournements de pop culture de SUCKADELIC, une organisation d’arts diabolique ainsi que la plus minable et immorale fabrique de figurines.

SUCKADELIC a entrepris la création de figurines au tournant du millénaire, à l’an 2000 très exactement, avec The Action Crackhouse Playset. Depuis, ils ont fait de multiples séries dont Empire Smokes Crack, Another Bitch, Necromancer et Gay Empire (photo). Ces oeuvres merdiques ont tôt fait de recevoir l’acclamation d’adultes plus qu’immature (kidults) et de critiques d’art dont la seule galerie qu’ils ont visité est le bureau de leur dentiste aux murs ornés de dents et de dessins d’enfants.

Les figurines sont toutes faites à la main par des ouvriers surexploités, dans un sweatshop situé dans les bas-fonds du Chinatown new-yorkais, malgré leur presque esclavage, seulement une minime quantité est produite et elles sont instantanément sold-out à leur sortie. Par ce fait, elles sont hautement prisées et ont été maintes fois mises aux enchères dans les plus prestigieuses sociétés dont Christie’s et eBay.

Pour ses trois premières années d’existence, SUCKADELIC n’était qu’une maison de disque et son unique produit était une cassette illégale intitulée STAR WARS BREAKBEATS. Cette oeuvre remporta un immense succès (culminant en 37ième position sur les palmarès collégiaux). En voici un extrait :

Depuis, deux autres disques (Supervillains et Sauron Speaks : Fat Beats From The Dark Tower) y ont paru. Toutefois, l’exposition ne tient compte que de leurs affreuses figurines.
Finalement, disons que SUPER SUCKLORD (qui utilise aussi les alias SUCKLORD 669 et SUCKLORD OF CHINATOWN) était de 1997 à 2003 appelé SUPERGENIOUS. Et que pour les 13 dernières années, ce dernier n’utilisa son nom civil que pour une apparition dans VH1’s Can’t Get a Date.
Voici la promo de l’exposition pathétique et emmerdante :

Cliquer ici pour visionner le communiqué de presse inspiré du générique d’introduction d’un film Star Wars.

– ‘xim Sauriol

Touchdown!

Les séries de la NFL se sont entreprises cette fin de semaine et les Saints de La Nouvelle-Orléans, champion défendant du Super Bowl, furent éliminés par les Seahawks de Seattle par une marque de 41-36. Ce résultat a contredit tous les experts qui prévoyaient une victoire de l’équipe au casque orné d’une fleur de lys. Le clou dans le cercueil des Saints fut un touché plus que spectaculaire de Marshawn Lynch.

Voici cette course victorieuse de 67 verges agrémentée de la trame sonore de Super Mario Bros. 

– ‘xim Sauriol

Atlas du web interdit

Ceci est une carte interactive recensant non seulement les réseaux sociaux, mais aussi les sites web qui sont interdits par les divers gouvernements nationaux. Cette mappemonde n’est pas encore des plus exhaustive; elle se construit peu à peu depuis juin dernier, au gré des suggestions et informations transmises sur la page Facebook d’Investech (compagnie canadienne qui développe cette carte). 

– ‘xim Sauriol

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La poursuite d’Intel

Cette publicité d’Intel démontre grâce à une poursuite et l’action qui s’y rattache, la capacité de la deuxième génération de leur processeur Core™ i5. Pour se faire, elle se déroule à travers une multitude de programmes des plus utilisés et leur fenêtre.

– ‘xim Sauriol

Étrange publicité japonaise avec Arnold

Depuis cette semaine, Arnold Schwarzenegger n’est plus gouverneur de la Californie. Le succès de ses deux mandats est mitigé, bien qu’au niveau de l’environnement, il est plutôt louangé. Plusieurs spécialistes ou non spéculent maintenant sur ce que sera la prochaine « aventure » de cet être indépendant de fortune. Bon nombre d’entre eux croient qu’il entamera la rédaction de sa biographie… après tout, bien peu de personnes peuvent se vanter d’avoir été Monsieur Univers de multiples fois, d’avoir été l’une des plus grandes vedettes de cinéma, d’avoir dirigé l’entité territoriale non-nationale la plus importante du monde… 

Mais, s’il écrit sa vie (ce serait étrange qu’il ne le fasse pas) fera-t-il mention des nombreuses publicités japonaises auxquels il participa, comme ce commercial des plus étranges? 

– ‘xim Sauriol

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Papeterie zombie

Voici une enveloppe plus cool qu’une brunâtre débordant de Benjamin Franklin* : une décorée de zombie. Et une feuille moins monotone qu’une lignée à intervalle régulier : tout aussi agrémentée de zombie.

Malheureusement, ces articles sont disponibles chez aucune papeterie. Ce n’est qu’une création d’un certain Abhi, sans plus.  

– ‘xim Sauriol

* : Surnom donné aux billets de 100 $ américain, puisque la figure de cet ancien Président s’y retrouve.

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Une voiture d’inspiration vidéoludique

Voici une Toyota Scion dont le design est inspiré par les jeux vidéo des années 80, de quoi donner envie de s’intéresser aux voitures. Eric Nakamura le créateur du look de la voiture (et rédacteur en chef de Giant Robot, un magazine de pop culture) fait, à travers ce vidéo, un tour guidé de tous les aspects de la voiture hormis les détails techniques et mécaniques.

– ‘xim Sauriol

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CGI poétique

Voici un petit bijou tout en CGI qui s’inspire de Dreams, poème de Scott Fitzgerald (dont la narration de ce court-métrage est aussi constituée).

Cette oeuvre a été réalisée par le studio de design créatif new-yorkais Charlex qui a déjà produit des publicités pour Hershey, Verizon et Coca-Cola.

– ‘xim Sauriol

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