Vous vous souvenez de la Clone Saga? Plusieurs ne préféreraient pas. La Clone Saga est une arche d’histoire qui a dominé les numéros de Spider-man pendant une période de 5 ans durant les années 90, ce qu’on appelle le Chromium Age ou le Dark Age selon certains fans de bandes dessinées américaines.
Les histoires qu’a engendrées la Clone Saga étaient particulièrement détestées, car elles étaient impossibles à suivre et relançaient constamment le lecteur dans une quête aux numéros manquants et aux séries dérivées pour combler les manques à l’histoire de Peter Parker et son clone Ben Reilly.
Monsieur Simon Chénier, coanimateur au Mystérieux étonnants, a déniché pour vous un blog qui explique de fond en comble les périples de la Clone Saga. L’auteur de ce blog affirme d’ailleurs qu’un livre est sur le point d’être publié basé sur son blog.
Voici le lien: http://lifeofreillyarchives.blogspot.com/
– Benoit Mercier


Ont peu vraiment trouvé de tout sur Internet… VRAIMENT de tout. Voici un blog que notre Simon Chénier national a déniché sur le Web il y a quelque temps. Le blog en question présente des images de superhéros le torse nu… 





Geoff Johns prime
CBR questionnera Geoff tout les deux mois à coup de 10 questions. Ces 10 questions seront des lecteurs du site Comic Book Ressources, peut-être l’une de vos questions! Vous voulez en savoir sur: Son travail, The Flash, Green Lantern, ses projets, … La parole est à vous!
À première vue je pensais qu’il s’agissait d’un prétexte pour dessiner des grosses poitrines, loin de là. Cette série des Luna Brothers, parue sur Image de 2005 à 2007 sur 24 issues, est une oeuvre de science fiction/catastrophe où l’action se déroule dans une petite ville américaine de 63 habitants. Une météorite en forme de spermatozoïde atterrit dans la petite communauté de Pennystown qui se voit enfermé dans une bulle. Ce qui suit à cette prémisse est une histoire d’incompréhension des personnages qui, par la force des choses, se voient se diviser en deux clans: Les hommes contre les femmes. Louise Déchatelet aimerait bien ce comic. Sans vous dires trop de détails sur les événements du récit, afin que vous puissiez les découvrir, cet oeuvre explore de plusieurs facettes la réaction des deux sexes. Les personnages féminins, qui sont les proies, prennent le contrôle de la situation par leur force de caractère et l’unité féminine. La mise en situation créée par l’auteur, le huit clos de la bulle, lui permet de faire une oeuvre intimiste et ainsi nous laisser apprécier les personnages. La présentation des personnages est fait par leur travers, ce qui nous donnes l’impression d’épier la population de ce petit village. Cette « technique » d’épiage nous permets, le lecteur, d’être au courant de ce que le groupe ne sait pas. Le récit se déroule de façon très cinématographique, autant que par l’art que la narration. La coloration et encrage digitale nous donnes l’impression de mouvement constant à travers les cases. La fin du récit est très Hollywoodienne: climatique, explosion, les loosers deviennent les héros, le gars retrouve sa blonde, etc.
Blackest Night de Geoff Johns est annoncé pour paraitre à partir du 15 juillet 2009! La série limitée sera sous huit numéros, le numéro un est solicité à 3.99$ US comprenant 48 pages. Espérant que les huit numéros soient de 48 pages, ce qui fera de cet histoire quelque chose des plus épic. Les séries Green Lantern et Green Lantern Corps seront publiées durant cette série limitée.
Cet événement m’excite beaucoup. Lorsque j’en parle je postillone et sur les coins de mes lèvres de l’écumes s’accumule. La pub commence, pouvant ainsi renforcer ma hausse d’hormones. Voici donc les numéros des différentes séries à vous procurer, faisant partie du Prelude to Blackest Night:
La série sera cancellée au numéro 18, qui paraîtraen août de cette année. Suite à cette nouvelle, une rage intérieur entremelée d’une peine déchirante me donne le goût de tout détruite ce qui est à l’extrimité de mes mains. La colère de règlant rien, je vais donc savourer ce qui me reste de Young Liars. L’auteur n’est toutefois pas surpris, comprenant que sa série n’est pas accessible, il a eut bien du plaisir à l’écrire et dessinée. Merci à David Lapham pour son audace et son talent. N’étant pas équilibré comme M. Lapham, j’aimerais avoir les dirigeants de DC/Vertigo assis et attachés sur une chaise sans fond devant moi et jouer à James Bond qui questionne. C’est rassurant de voir que DC/Wildstorm sorte des séries comme Gears of War, World of Warcraft, Starcraft, Resistance… alors que DC/Vertigo arrête des séries comme Young Liars. Ah pis c’est ça…