Je n’aime pas les films de zombies, ce n’est pas dans mes goûts. Le seul film de zombie que j’ai apprecié est 28 Days Later de Danny Boyle, mais je ne trouve aucun intérêt personnel en Romero. J’ai donc dû faire confiance à quelqu’un lorsqu’il m’a dit que je capoterais à lire Walking Dead(merci David-Alexandre, toujours de bons conseils). Les zombies ne sont qu’une trame de fond, il s’agit d’une histoire sur l’être humain face à la fatalité. Robert Kirkman réussit à faire une œuvre(la série est toujours en cour) sur la psychologie humaine de façon divertissante. Les zombies sont là pour que ça soit divertissant et ce l’est. La suite d’événements est brillamment orchestré de façon logique par les réflexions ou impulsions des personnages, la palette de personnages permets d’avoir une symphonie de situations. L’auteur respecte ses personnages et ne se sert pas d’eux à son gré. On croierait à voir à faire à du « vrai monde » et à une histoire vécu. De ce fait, la série nous fait vivre beaucoup de joies, de peines, de mépris… Il est facile d’embarquer dans ce que vivent les personnes et de prendre position. Le style de Kirkman est très particulié en ce sens. Je ne m’attarde même pas à vous faire une description du récit, lisez-le! Vous ne serez pas déçu, à moins d’être misanthrope, mais encore…
Lorsqu’on commence à lire du Walking Dead, on ne peut pas s’arrêter. Je sais qu’en prenant un recueil, je ne pourrai pas le déposer parce que je vais vouloir savoir ce qui va se passer et que je vais être affamé à en lire encore plus. J’ai refusé du sexe pour pouvoir lire un Walking Dead(le « urge » était dans ma tête), il fallait que je le lise « là là » et je n’aurai pas eut la tête tranquille(penser à des zombies durant ce moment ça doit être pire que de penser à sa mère). Je suis déçu de ne pas être baptisé, je prierais le petit Jésus pour qu’il n’arrive rien à Robert Kirkman, afin qu’il puisse finir sa série. C’est honteux que cette série ne soit pas plus haute dans les ventes et ne soit pas plus primée.
Pour ceux qui n’aurait pas encore commencé à lire cette série et qui aimerait commencer, au mois de mai 2009; il y aura la sortie du The Walking Dead Compendium Vol. 1(#1-48), 1088 pages à 59.99 US$.
Bruno
PS Désolé ma belle, pour certains c’est le hockey, pour moi c’est les bds!

Ce qui a inspiré Morrison à écrire ce récit est le film Badlands de Terrence Malick. Il s’agit d’une jeune schoolgirl anglaise, qui tombe amoureuse d’un jeune anarchiste. Sans révéler l’histoire qui est courte, un issue prestige format de 64 pages, il s’agit d’une critique sur l’aliénation et le conformisme de la banlieue. Cette critique est véhiculée par des personnages unidimensionnels qui servent la cause. Malgré ce fait, ils n’en demeurent pas moins intéressants et colorés. Ce qui est vraiment intéressant est qu’il n’y a pas de point mort, même les cases plus anodines renferment l’hypocrisie des personnages secondaires. La bourgeoisie, les artistes grandes gueules, les politiciens… Ils sont tous démontrées comme n’étant pas fidèle à l’image qu’ils projettent, seul les deux personnages principaux, qui sont sur une virée sans limite morale, respecte leurs dires. L’histoire n’amène aucune morale, seulement une anarchie destructrice qui connait son paroxysme avec la finale. Il ne s’agit pas d’une oeuvre dérangeante en soit, puisqu’on réussit à avoir une compassion pour les deux personnages principaux(leur nom ne sont jamais mentionné, le nom mentionné est celui du boyfriend tué…) qui malgré leurs actes; vivent une histoire d’amour hors de l’ordinaire et « s’amusent » dans n’importe quelle situation( et amuse le lecteur).
Tel que mentionné dans un article précédent, l’entreprise Genki wear commercialisera une ligne d’eau de toilette de Star Trek. Ce qui a paru être une rumeur virale est belle et bien vrai. Avec des publicités de précommande hilarantes de kitsch et une plogue à
Quelle équipe! Morrison et Quitely(sans oublier le coloriste/encreur Jamie Grant). Les mêmes qui nous ont donné All-Star Superman, plusieurs fois primé. Bien qu’ils n’ont pas une bibliographie aussi volumineuse que le duo Loeb et Sales, elle n’en demeure pas moins aussi prolifique.
remis des superbes illustrations, qui alimente l’action rapide par une technique de plusieurs « zoom » dans la case(voir l’exemple qui accompagne), on peut plus apprécier l’histoire et les thèmes que Morrison abordes.

Ce qui a attiré mon attention sur cette série est l’auteur Peter J. Tomasi, ancien éditeur chez DC Comics. Tomasi a arrêté son travail d’éditeur pour se consacrer à l’écriture. Malgré sa courte bibliographie, ses premiers ouvrages ont sue me plaire, par la réflexion des personnes donnant l’impression de lire sur des êtres humains plutôt que des héros en spandex. Sa courte carrière compte présentement: Nightwing #140-153(il a terminé le dernier volume), il a écrit sur Green Lantern Corps(notament les numéros du Sinestro Corps War et participera au Blackest Night) et a écrit le superbe one-shot Final Crisis: Requiem. Ce dernier est vraiment un comic à se procurer, il a rendu un hommage très émouvant( je l’ai eu pour de vraie le motton!) à la mort de Martian Manhunter.
L’acteur originaire de la Nouvelle-Zélande, Jay Laga’aia, serait en pourparler avec Goerges Lucas pour la prochaine télésérie de Star Wars.
Cette histoire met en vedette la famille des West: Wally(ancien kid Flash et protégé de Barry Allen, celui qui reviendra dans Flash Rebirth de Geoff Johns), Jai et Iris(les deux jumeaux nouveaux nées agées d’un an, mais dû à une poussée de croissance inexpliquée ils ont plus l’air de 10 ans) et la maman Linda Parks-West, qui agit en experte en velocibiologie, par défaut.
