J’avais ma caméra sur moi et je me suis dit que peut-être vous voudriez voir ce que mes coanimateurs des Mystérieux étonnants font avant de rentrer en onde. PS: Je n’ai aucune idée de ce qu’ils faisaient…
– Benoit Mercier
J’avais ma caméra sur moi et je me suis dit que peut-être vous voudriez voir ce que mes coanimateurs des Mystérieux étonnants font avant de rentrer en onde. PS: Je n’ai aucune idée de ce qu’ils faisaient…
– Benoit Mercier
On s’en doutait bien, nous n’en n’avions pas fini avec Eddie Brock à la fin de la série New Ways to Die. Les nostalgiques des années 90 (oui, il y en a) et les fans exigeaient son retour. Ils seront bientôt satisfaits.
Je suis tombé sur cette couverture en consultant la liste des sollicitations de Marvel Comics pour le mois d’octobre. On peut y voir Eddie Brock en tant qu’Anti-Venom en combat corps à corps avec le Punisher. La couverture était accompagnée d’une petite description :
Eddie Brock is waging a one-man war against the guilty as the sin-purifying symbiote, Anti-Venom. But someone forgot to tell him about another one-man war, Frank Castle – the Punisher. As the streets erupt in violence, these two men can’t help but be on a collision course with those who prey on the innocent – and each other! Will anyone be left standing for issue #3?! Deputy Web-Head Zeb Wells and rising star Paulo Siqueira bring you a street fight you won’t forget – if you survive it!
Pour consulter la liste complète du mois d’octobre, cliquez ici.
– Benoit Mercier
La galerie photo du quotidien USA Today nous dévoile quelques images du prochain film de John Favreau, Iron Man 2.
Suivre le lien pour plus de photos: http://www.usatoday.com/life/movies/l090722_ironman2/flash.htm?gid=1099
– Benoit Mercier
Sam Raimi, le réalisateur de films très chers à la pop culture tel que Spider-Man (le 3 ne compte pas) et Evil Dead a été engagé pour réaliser l’adaptation cinématographique du jeu Warcraft. Le film sera produit par Charles Roven (The Dark Knight, Batman Begins, 12 Monkeys) ainsi qu’Alex Gartner et Thomas Tull, PDG de Legendary Pictures. Chris Metzen, l’un des créateurs de Warcraft et vice-président du développement, département de création pour Blizzard Entertainment sera, coproducteur sur le projet. Warcraft sera coproduit et financé par Legendary Pictures et Wars Bros. Pictures.
En espérant que le film sera sur le grand écran d’ici 15 ans…
Source: http://www.fantasy.fr/articles/view/10095/sam-raimi-realisera-warcraft
– Benoit Mercier
Je viens de me faire défoncer chez moi, mais rien n’était aussi grave que ça… À 23h18 heure de Montréal, Star Wars est définitivement mort pour moi…
Cette semaine, des os seront pulvérisés et des têtes rouleront dans le premier volume de The Goon d’Eric Powell. Bien sûr, comme à l’habitude, nous vous partageons également les dernières nouvelles sur l’univers de la culture populaire: BD, cinéma, jeux vidéos, télévision, etc.
Diffusion originale: 20 juillet 2009
Site web: MysterieuxEtonnants.com
Cet épisode a été enregistré à CHOQ.ca
© Les Mystérieux Étonnants. Tous droits réservés.
J’avais adoré 20th Century Boys hier et j’avais donc très hâte de voir le deuxième chapitre. L’intrigue du premier chapitre était extrêmement prenante et le cliffhanger sur lequel le réalisateur Yukihiko Tsutsumi termine le film est absolument… souffrant! Je croyais donc faire un bon coup en assistant à la première représentation de la suite le lendemain.
Une petite note ici. Il est pratiquement impossible de lire sur Internet à propos de 20th Century Boys sans se faire vendre les bons coups. L’œuvre tourne autour d’un grand mystère et de l’identité secrète de Friend, un être charismatique masqué à la tête du parti politique qui règne sur le Japon en 2015. Alors, faites gaffe si vous vous aventurez à la quête de détails, c’est à vos risques!
D’ailleurs, je ne révélerai pas grand-chose sur le film. Simplement pour vous dire que, comparativement à la première partie, le film est plus difficile à suivre. On s’ennuie beaucoup de Kenji, le personnage principal du premier chapitre, autour duquel tournait l’intrigue qui était liée à son enfance. Kanna, sa nièce, qui n’était qu’une enfant dans le premier film est le personnage principal que l’on suit tout au long du récit. Elle poursuit le combat contre Friend et tente d’apprendre son identité et de contrer ses plans destinés à la destruction du monde.
Nous n’apprenons pas grand-chose sur Friend dans ce chapitre. En fait, j’ai l’impression que le film ne fait pas avancer réellement l’histoire. Kanna fait quelques découvertes, mais cela semble superflu comparativement au temps qui lui est accordé à la caméra. On se surprend à attendre les moments ou certains vieux personnages refont surface mais là, j’en ai déjà trop dit.
J’ai tout de même, comme pour le premier, eu beaucoup de plaisir à écouter 20th Century Boys et j’ai déjà hâte au troisième et dernier chapitre. C’est là en fait que réside ma plus grande critique. Elle ne se retrouve pas au niveau du film comme tel, mais au niveau de l’organisation de Fantasia. 20th Century Boys est un épique en trois parties. Le troisième chapitre n’est pas encore sorti au Japon. Donc si vous vous êtes déplacé pour assister aux deux représentations à Fantasia, vous avez sûrement été surpris à la fin du deuxième film de tomber sur un « To be continued… « . Je crois que le minimum qui aurait du être fait, par respect pour l’auditoire, c’est d’annoncer dans le programme écrit et sur le site Internet de Fantasia que 20th Century Boys est raconté en 3 parties et que la troisième n’était pas disponible. Je trouve ça très dommage. Surtout si on considère la longueur des films et de la complexité de l’histoire, il est certain que si vous arrivez à mettre la main sur le troisième chapitre, il va absolument falloir vous retaper les 2 premiers films.
– Benoit Mercier
Une petite comédie romantique sans les clichés s.v.p. Décidément les Sud-Coréens ne cessent de me surprendre cette année. Je serai honnête, je ne suis pas un grand connaisseur du cinéma asiatique et si en ce moment, en lisant cela, vous vous dites: « pauvre inculte! », vous avez raison!
Cela étant dit, reste, que Crush and Blush fera fondre votre cœur, que vous soyez un cyborg qui questionne son humanité ou un « Average Joe » comme moi.
Les personnages sont « vrais » et attachants. Les situations dans lesquelles ils s’entremêlent restent crédibles et toujours accompagnées d’une petite touche d’humour bien placé. En regardant Crush and Blush vous avez l’impression d’être témoin d’une tranche de vie de personnes biens réelles. La distribution des acteurs fait le film. Kong Hyo-jin est particulièrement émouvante dans le rôle de Me-sook, une jeune femme amoureuse de M. Seo, un collègue de travail, dans le lycée où elle y enseigne l’anglais. Elle s’alliera avec Jong-hee la jeune fille de celui-ci afin de contrecarrer les avances d’une autre prétendante. Les choses se compliquent alors que l’amitié entre la jeune femme et l’étudiante grandit. Car l’une veut secrètement conquérir le cœur de M. Seo, tandis que l’autre veut empêcher le divorce de ses parents.
Sautez sur la chance pour le voir le 20 juillet prochain à Fantasia, vous quitterez la salle de cinéma avec le pas un peu plus léger.
– Benoit Mercier
Jessie, la fille de Christian Forteski, un exterminateur, est retrouvée morte. Le rapport du médecin légiste stipule qu’on a retrouvé dans le sang de la jeune fille de l’héroïne et d’autres narcotiques. Peu de temps après sa mort, Christian reçoit par la poste une vidéocassette pornographique. Sur la cassette, on y voit sa fille complètement désorientée et droguée en train de d’accomplir des actes sexuels avec trois hommes. Christian part alors dans une quête pour retrouver les hommes responsables de la mort de sa fille. Une quête de vengeance.
Une prémisse bien simple pour un film à la thématique très lourde. À lire la description sur papier, on serait tenté de croire qu’on a déjà vu ce film des centaines de fois, détrompez-vous.
Là où The Horseman tire sa force, c’est dans l’approche intimiste qu’a le réalisateur Steven Kastrissios avec son personnage principal. Il nous présente Christian comme une personne bien réelle, un homme qui souffre véritablement. Comparativement à d’autres films qui seraient tentés d’exploiter cette prémisse de base pour enchaîner les scènes de violence, la clef de la réussite de The Horseman réside dans les scènes calmes de tranquillité, ces scènes où l’on voit Christian se remémorer sa fille.
Christian n’est pas Superman ou un débile sanguinaire, il est loin d’être invincible. S’il est vrai que les scènes de violence sont particulièrement sanguinaires, la plupart du temps, tout est sous-entendu. On ne dévoile que rarement les blessures ou les tortures infligées par le personnage principal. Vous connaissez le public de Fantasia? Un goutte de sang et c’est le délire le plus complet. Pour vous donner une image, le film est à ce point intense et bien fignolé qu’il a réussi à instaurer le calme sur certaines scènes qui autrement auraient déclenché la folie.
Au niveau visuel, je dois avouer que je n’étais pas convaincu au début. La photo est plutôt simple et faite, il semblerait, avec les moyens du bord. J’ai vite laissé de côté cette préconception. Au contraire, puisque cette simplicité dans la photographie vient appuyer davantage le sentiment de véracité qui émane de ce film.
Voilà, arrêtez de me lire et essayez donc de mettre la main sur The Horseman.
– Benoit Mercier
Journal de bord vidéo du Festival Fantaisa. Je (Benoit Mercier) parle brièvement des films 20th Century Boys, Lascars, The Chaser et de Vampire Girl Vs. Frankenstein Girl.
C’est une journée plutôt calme pour les nouvelles aujourd’hui, mais je ne pouvais passer à côté de celle-ci sans la partager avec vous. Ceux qui écoutent les Mystérieux étonnants, l’édition radio, connaissent mon amour pour la série Green Lantern. Bruno et moi adorons cette série, qui a été pour moi la série initiatique à l’univers de DC Comics.
Le monde de Green Lantern est rempli de créatures qui viennent des 4 coins de l’univers. Nous avons affaire ici à une véritable mythologie cosmique (oui, ce sont les bons mots, allez donc lire la série).
Si vous voulez mon opinion, commencez par Green Lantern Rebirth. Allez-y tranquillement, c’est normal qu’au début vous ne compreniez pas tout et que vous ne reconnaissiez pas tous les personnages.
Tout ça pour dire, que Ethan Van Sciver, le dessinateur qui est à la barre de Green Lantern Rebirth est le sujet d’un article sur Comic Book Ressources.com.
Ethan y parle de son amour pour Cyberfrog, de ses démêlés avec Marvel Comics et de ses choix artistiques concernant la série Green Lantern.
Un incontournable pour les fans de ce dessinateur hors pair.
Lisez l’article au complet ici
– Benoit Mercier
Je n’ai vu seulement que 2 films en cette huitième journée du Festival Fantasia mais wow, quels films! Je serais franc, j’ai beaucoup plus adoré le premier que le dernier pour des raisons que je vais partager avec vous sous peu.
Comme plusieurs le savent déjà, je ne regarde jamais la description d’un film avant de me pointer à une représentation. Nous sommes tellement saturés de bandes-annonces de films hollywoodiens qu’on en vient à connaître le récit au grand complet avant même d’avoir visionné le film. Je me garde la surprise d’être déçu ou d’être agréablement surpris.
Dans le cas de The Warlords, le dernier film qui met en vedette Jet Li, ça a été le toute une surprise, une bonne. Si, comme moi, vous n’avez jamais été particulièrement un grand fan de cet acteur chinois, c’est le film qui vous fera changer d’idée. Si par contre vous adorez Jet Li, vous l’aimerez davantage. Jet Li y est surprenant, pas pour ses prouesses physiques et ses mouvements de Kung Fu mais pour son jeu d’acteur. Intense est le mot!
On nous projette dans la Chine du 19e siècle. Le pays rentre dans l’une de ses périodes les plus sombres de son histoire : pauvreté, meurtres et bandes de rebelles ravageant le pays.
Jet Li y interprète Pang, le commandant d’une armée qui a perdu tous ses hommes au combat. Il s’alliera avec un groupe de paysans, bandits à leurs heures, afin de monter une armée, la meilleure de la garde impériale.
Il n’y a pas beaucoup de lumière dans The Warlords et c’est aussi bien comme ça. Le film nous présente la raison qui engendre souvent la guerre : la politique. Les personnages du film ne cherchent pas à se venger ou à atteindre un but noble ou un idéal, mis à part Pang qui, selon lui, cherche à « ramener l’ordre ». On en vient par contre à douter de ses intentions. Pang fait-il la guerre par nécessité, ou pour monter de plus en plus dans l’échelle du pouvoir?
La photo est grise, sale, très désaturée, ce qui vient appuyer davantage les propos de l’œuvre. Il n’y a rien de beau dans ce film. Les soldats, les protagonistes principaux, sont en permanence sale, trempés ou couverts de boue. On en vient à imaginer même l’odeur qui devait flotter dans certaines scènes.
En tant que spectateurs, nous sommes témoins impuissants de la réalité brutale de la vie à cette époque. Il y a des scènes de combat époustouflantes (j’en ai une particulièrement en tête), mais celles-ci ne constituent pas le film. En d’autres mots, nous sommes pour la plupart du temps projetés dans les tranchées à attendre avec les soldats. Témoins des coulisses du pouvoir et des prises de décision motivées par la quête de la puissance et du contrôle sur l’état. The Warlords est aussi une histoire d’amitié déchirante, scellée par un pacte d’honneur. Oui, j’ai versé une larme (vraiment).
En quelques mots, comme ça, c’est tout ce que je trouve à dire sur The Warlords. Vérifiez l’horaire des représentations sur le site de Fantasia. Vous ne serez pas déçu, attendez-vous par contre à sortir de la salle la tête un peu plus basse.
– Benoit Mercier

Hells, des studios d’animation japonais Madhouse (ils viennent de signer avec Marvel pour des séries télévisées, lire plus bas sur le site) viennent m’amener une certitude. Je ne suis pas épileptique! Visuellement chargé, ce sont les mots que j’emploierais pour décrire ce qui nous est bombardé à l’écran pendant 117 minutes. Soyez prêts et bien en forme, ce film va vous vider de votre énergie pour la remplacer par une autre complètement nouvelle.
Linne est une jeune étudiante pleine de vie qui se rend au pas de course à sa première journée d’école. En chemin, elle se fait frapper par un camion et meurt sur le coup. Sans le savoir, elle se retrouve en enfer. Pourquoi? Toutes les personnes qui meurent vont en enfer, c’est aussi simple que ça. En fait, c’est un peu plus complexe. Caïn et Abel sont mêlés à l’histoire. Helvis, un gros démon à l’aspect d’Elvis est le directeur d’une école des enfers. Il y a des pandas qui parlent et une panoplie de personnages démoniaques/cutes qui veulent retourner au monde des vivants. OK, comme ça, ça semble trop compliqué. En fait, si vous écoutez ce film, vous allez tout comprendre, ne vous inquiétez pas. On s’assure de tout vous expliquer et de vous prendre par la main, et ce, plusieurs fois de file… Maudit que c’est long!
L’histoire ne cesse de sembler se résoudre pour partir dans une autre direction. Après 10 fois de suite où on nous dit que la façon de régler le problème, c’est la pensée positive, on a compris. J’ai eu l’impression que le film était sur le point de se terminer à 5 reprises. Même à la fin, je n’étais plus certain. Ce qui fait mal pour Hells, c’est que le récit ne semble aller nulle part. De temps à autre, un personnage sort quelque chose de son cul, et c’est reparti.
Au niveau visuel, je n’ai rien à reprocher à l’œuvre. Madhouse s’assure qu’aucune scène ne soit identique à la précédente. L’animation est fluide et mélange les styles: collages, infographie, etc. Par moment, on peut croire que les scènes sont dessinées au crayon de plomb, ce qui donne un ton inhabituel et frais.
Je l’admets, je suis vieux, je suis un gars de 28 ans pépère sur les bords et probablement pas la bonne personne pour apprécier ce film. Mais si vous êtes fan d’animation ou de films japonais, peut-être qu’Hells sera de votre tasse de thé.
– Benoit Mercier
Marvel Entertainement inc. s’associe avec Madhouse, un studio d’animation réputé au Japon. Dans un communiqué de presse disponible depuis son site Internet, le géant du Comic Book américain annonce qu’il se lance dans la production de 4 projets d’animation avec le studio japonais. Sûrement pour « surfer » sur le succès de ses 2 films, les 2 premières franchises exploitées seront Iron Man et Wolverine.
Aucune autre information à propos de ces projets n’est présentement disponible. Attendez-vous à recevoir plus d’informations, dont une bande-annonce, lors de la conférence de presse de Marvel à ce sujet, à la Mecque du Geek, le Comic-Con de San Diego qui aura lieu du 23 au 26 juillet prochains.
À la barre de cette conférence, l’auteur Warren Ellis, qui semble être en charge de l’écriture des nouveaux épisodes de ces dessins animés. Le communiqué précise cependant qu’il s’agira de personnages connus du public au design réinventé à la sauce manga.
Les séries prévoient débuter sur la chaîne japonaise Animax au printemps 2010.
Source: http://marvel.com/news/moviestories.8808.Marvel_and_Madhouse_Team-Up_on_Anime
Source: http://www.newsarama.com/tv/070916-Marvel-Anime.html
– Benoit Mercier
Le magasine Entertainement Weekly a dévoilé dans son deuxième spécial Comic-Con des images du très attendu film Iron Man 2. On peut y voir, entre autres, Scarlett Johansson en tant que Black Widow. La couverture nous présente les 3 personnages principaux du film, soit Robert Downey Jr. (Iron Man) Scarlett Johansson (Black Widow) et Mickey Rourke (Whiplash).
L’article qui accompagne les photos explique brièvement l’histoire du film pour ceux et celles qui ne se seraient pas encore mis à jour. On y mentionne également les raisons qui ont motivé le changement d’interprète pour le rôle de Rhodey, le meilleur ami de Tony Stark, autrefois interprété par Terrence Howard. Le rôle sera repris par Don Cheadle à cause d’une dispute salariale entre Howard et Marvel Studios.
Iron Man 2 sera sur le grand-écran le 7 mai 2010.
Suivez le lien suivant pour l’article au complet et d’autres images: http://popwatch.ew.com/popwatch/2009/07/this-weeks-cover-iron-man-2.html
Dieu s’est reposé le septième jour et bien moi ce fut le sixième. Après une journée d’absence, je reprends en main ma caméra et ma couverture (à ma façon) du festival Fantasia.
J’adore croiser quelqu’un à la sortie d’une projection de film. Parce que ça me fait plaisir de piquer une jasette avec la personne, mais aussi parce que je peux en profiter pour lui demander ses impressions sur le film fraîchement visionné.
Oui, ça m’enlève de la job, maudit que je suis paresseux! Certains reconnaîtront dans la vidéo ci-dessous, Monsieur Jean-Michel Berthiaume, ancien Mystérieux étonnant et coanimateur de L’ÉMISSION de cinéma à CHOQ.FM, Le septième antiquaire. Il nous partage dans le court extrait qui suit ses impressions sur le festival et bien sûr son enthousiasme légendaire.
Et moi sur Slam-Bang…
– Benoit Mercier
Oublions un instant la controverse qu’a engendrée le verdict prononcé en faveur des familles des Siegel et Shuster contre Warner Bros (pour ceux qui ne le savent pas, les familles des créateurs de Superman reprendront possession des droits du personnage en 2013). À la place, allez donc jeter coup d’œil à un article sur lequel je suis tombé aujourd’hui sur ComicBookResources.com.
On y voit la famille des Shuster et Siegel réunie lors d’une cérémonie dédiée à la rénovation de la maison dans laquelle le personnage de Superman a été créé. L’article est très intéressant et permet enfin de mettre des visages sur les 2 familles qui dans peu de temps auront la possibilité de changer pour toujours le paysage du comic book américain.
Voici le lien: http://www.comicbookresources.com/?page=article&id=21998
– Benoit Mercier
Cela fait maintenant 2 ans que nous n’avons droit qu’à un seul titre de Spider-Man distribué 3 fois par mois. Amazing Spider-Man est en quelque sorte la réponse de Marvel à DC Comics en ce qui a trait aux Weekly, ces titres distribués une fois par semaine sur une période d’un an.
Jusqu’à maintenant, Amazing Spider-Man n’a pas accoté, en terme qualité éditoriale, son compétiteur qui, lui, a su offrir à son lectorat de magnifiques séries telles que 52 et Trinity. On s’ennuie de J. Michael Straczynski!
Par contre, je dois spécifier que ce ne sont pas toutes les arches d’histoire de Spider-Man qui ont été mauvaises, rappelez-vous de New Ways To Die, Character Assassination et récemment American Son.
Marvel a annoncé mercredi dernier le lancement d’une nouvelle série mensuelle de Spider-Man intitulée Web Of Spider-Man. Celle-ci se concentrera davantage sur la vie de Peter Parker.
L’éditeur de la série, Steve Wacker, a expliqué dans une entrevue accordée à ComicBookResources.com qu’avec la quantité faramineuse d’histoires et de vieux ennemis qui resurgiront dans l’univers de notre Friendly Neighborhood Spider-Man dans les prochains mois, Marvel ne voulait pas saturer les pages d’un de ses plus grands vendeurs au détriment de l’histoire.
Web of Spider-Man marque également le retour de Spider-Girl. La série est toujours écrite par Tom Defalco et sera disponible à l’intérieur de chaque numéro. Wacker nous promet aussi le retour de personnages célèbres tels que The Rhino, Electro, The Lizard et bien d’autres.
La série sera disponible dès le mois d’octobre 2009.
Source: http://www.comicbookresources.com/?page=article&id=22013
– Benoit Mercier