Auteur : Maxime

Friends With Benefits & No Strings Attached : deux fois le même film

L’automne dernier, Natalie Portman et Ashton Kutcher partageaient la vedette dans la comédie No Strings Attached, un film racontant l’histoire de deux amis qui décide de coucher ensemble. Le 22 juillet prochain, Justin Timberlake reprendra en quelque sorte le rôle tenu par M. Demi Moore et Mila Kunis, celui de sa partenaire de jeu dans Black Swan, dans Friends With Benefits. Je dis en quelque sorte, car bien que ce soit deux films distincts, les deux ont exactement la même histoire, comme le démontre ce petit montage :

Toutefois, ce genre de « copie conforme » arrive de temps en temps à Hollywood. On a qu’a pensé par exemple à Deep Impact et Armageddon, Volcano et Dante’s Peak ou même Capote et Infamous. 

– ‘xim Sauriol

Shatner s’entretient avec tous les capitaines de Star Trek

Voici la bande-annonce du documentaire The Captains, où William Shatner s’entretient avec tous les acteurs qui ont tenu le rôle de capitaine dans les multiples versions de Star Trek, et ce, de Patrick Stewart à Chris Pine, en passant même par Scott Bakula : 

La première de ce film se fera, le 21 juillet, sur les ondes de la chaîne spécialisée états-unienne Epix HD. Malheureusement, cela ne semble pas disponible au Canada.

– ‘xim Sauriol

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Michael Bay réutilise des plans de ses films précédents

Parfois, les réalisateurs utilisent du stock footage lorsqu’ils n’ont pas le budget pour réaliser quelques spectaculaires plans et cela arriverait bien plus souvent que l’on pense. Selon le site /Film, même Michael Bay n’y fait pas exception, malgré les gigantesques budgets mis à sa disposition. Il aurait, entre autres, réutilisé des plans de The Island pour Transformers: Dark of the Moon :

http://www.youtube.com/watch?v=H7kcqB3thJM

Et des plans de Pearl Harbor pour le premier Transformers :

– ‘xim Sauriol

Étude scientifique sur les traumatismes crâniocérébraux présents dans Astérix

Récemment, une sérieuse étude scientifique sur les traumatismes crâniens présents dans Astérix, qui fût publiée dans la revue médicale Acta Neurochirurgica, en a fait sourciller plus d’un. À quoi cela peut bien servir de savoir comment de simples personnages de bandes dessinées se blessent et comment ils souffrent?  

La recherche, effectuée par des chercheurs de l’université allemande d’Heinrich-Heine (située à Dusseldörf), est intitulée Traumatic brain injuries in illustrated literature: experience from a series of over 700 head injuries in the Asterix comic books. L’auteur principal, Marcel Kamp, a spécifié que l’avantage principal de ce genre de recherche, c’est qu’elle ne requiert pas de révision. De plus, il a affirmé que tous étaient enthousiaste face à cette étude et que, surtout, aucune subvention ou fonds public y ont été consacré, puisque les auteurs l’ont effectué, à même leurs collections de bandes dessinées, et ce, durant leurs vacances et les week-ends. 

Voici l’étude :

CONTEXTE :
L’objectif de la présente étude était d’analyser l’épidémiologie et les facteurs de risque spécifiques de la lésion cérébrale traumatique (TCC) dans les livres d’Astérix. Parmi les ouvrages illustrés, le TCC est un type de blessure qui prédomine.

MÉTHODES :
Une analyse rétrospective des TCC dans les 34 bandes dessinées d’Astérix a été réalisée en examinant l’état initial et les signes neurologiques de TCC. Les données cliniques ont été corrélées à l’information concernant le mécanisme de traumatisme, le contexte socioculturel des victimes et des délinquants, et les circonstances de traumatismes, d’identifier les facteurs de risque spécifiques.

RÉSULTATS :
Sept cent quatre TCC ont été identifiés. La majorité des personnes impliquées sont adultes et masculines. La principale cause de traumatisme a été les assauts (98,8%). Les traumatismes ont été classés comme graves dans plus de 50% (GCS 3-8) des cas. Différents déficits neurologiques et des signes de fractures du crâne basale ont été identifiés. Bien que plus de la moitié de la tête de la blessure victimes avaient une déficience grave de connaissance initiale, aucun cas de décès ou d’un déficit neurologique n’a été trouvé. Le plus grand groupe des personnages blessés est constituée par les Romains (63,9%), alors que les Gaulois ont causé près de 90% des TCC. Un casque a été porté par 70,5% des victimes, mais avait été perdu dans l’immense majorité des cas (87,7%). Dans 83% des cas, les TCC ont été causés sous l’influence d’un agent dopant appelé « la potion magique ».

CONCLUSIONS :
Bien que plus de la moitié des patients aient été une atteinte sévère d’abord de la conscience après TCC, pas de déficit permanent pourrait être trouvé. Nationalité romaine, parésie hypoglosse, a perdu un casque, et l’ingestion de la potion magique était significativement corrélée avec dépréciation initiale sévère de la conscience (p ≤ 0,05).

– ‘xim Sauriol

Star Wars à la Dr. Sketchy’s Anti-Art School

Les soirées Dr. Sketchy Anti-Art School sont des « ateliers éphémères de dessin de modèle vivant, accompagné par des cocktails, de la bonne musique et des mini-spectacles de cabaret. Dans un atelier d’art classique, on dessine des modèles vivants, mais dans une atmosphère plutôt neutre et sérieuse. Dans les séances de Dr. Sketchy’s Anti Art School, c’est tout le contraire : la séance se tient dans un lieu inattendu, sur un thème à chaque fois différent, et à la place d’un modèle qui s’ennuie, on y croque de ravissantes créatures aux costumes spectaculaires, qui s’interrompront peut-être de poser pour vous offrir un petit numéro. »*

La première soirée de ce genre a eu lieu à Brooklyn, en 2005, par l’artiste Molly Crabapple et, désormais, il a de tels ateliers dans plus de cent villes à travers le monde, dont à Montréal et à Paris (d’où provient la description ci-haut). 

Récemment, le chapitre sanfranciscain du Dr. Sketchy’s Anti-Art School a récemment tenu une soirée à la thématique de Star Wars. Voici un court vidéo présentant l’ambiance et les poses de cette soirée :

– ‘xim Sauriol

Meet The Medic

Team Fortress 2 (ou TF2), la suite de Team Fortress Classic, a envahi les consoles de jeu, il y a près de 4 ans, le 10 octobre 2007 exactement. Désormais, on peut y jouer tout à fait gratuitement, et ce, sans attrape-nigaud (autrement dit en bon québécois : « Ce n’est pas de la crosse. »). Pourquoi? Parce que le jeu est en fin de vie et qu’un troisième opus devrait sortir un jour; c’est une merveilleuse façon d’en faire la promotion bien que toutefois aucune date n’est annoncé pour une telle sortie et que cela ne devrait être que dans deux ou trois ans. Voici un court-métrage créé pour annoncer cette gratuité vidéoludique :  

– ‘xim Sauriol

The Matrix a cappella

L’automne dernier, une version a cappella d’Inception avait connu du succès sur le net. C’est donc sans surprise que certains vidéastes ont décidé d’appliquer ce concept à d’autres succès cinématographiques. Cette fois-ci, c’est le néo-zélandais Matt Mulholland qui a produit une telle version de The Matrix. Voici son oeuvre tout en cascades et en cordes vocales : 

– ‘xim Sauriol

Pac-Man Highway

Un certain Fabio Palmieri a créé ce court vidéo croisant l’univers de Pac-Man à celui de Lost Highway, et ce, pour un simple test. Assez concluant, n’est-ce pas?

– ‘xim Sauriol

P.-S. En passant, la page de ce vidéo contient une citation intéressante de Kristian Wilson (qui travaillait pour Nintendo) : « Computer games don’t affect kids; I mean, if Pac-Man had affected us as kids, we’d all be running around in a darkened room munching pills and listening to repetitive music. » ( 1989)

Toutes les créatures de Ray Harryhausen

Le nom de Ray Harryhausen n’est peut-être pas des plus familier, mais il tient une place prépondérante dans l’histoire du Septième Art. En effet, il fut l’un des tout premiers rois et maîtres des effets spéciaux et plusieurs le considère comme le père du stop-motion (l’animation image par image) qu’il appelait dynamation. Sa filmographie s’étend de Mighty Joe Young (1949) à Clash of the Titans (1981), deux véritables classiques, et il a oeuvré sur, entre autres, Jason and the Argonauts (1963) , Earth vs. the Flying Saucers (1956) et The Seventh Voyage of Sinbad (1958).

Voici un vidéo compilant toutes les créatures de M. Harryhausen :

Un site web est consacré à son oeuvre, vous pouvez le consulter en cliquant ici.

– ‘xim Sauriol

Bande-annonce de Mission Impossible: Ghost Protocol

Le 16 décembre prochain, Mission Impossible: Ghost Protocol envahira les écrans du monde. Tom Cruise reprend, sans surprise, pour la quatrième fois le rôle de l’agent Ethan Hunt. Le reste du casting principal est constitué par Ving Rhames, Jeremy Renner, Josh Holloway, Simon Pegg, Paula Patton, Michael Nyqvist et la superstar bollywoodienne Anil Kapoor. Notons que le scénario a été coscénarisé par J.J. Abrams et que le film est réalisé par Brad Bird (Iron Giant, Ratatouille, Incredibles… ainsi que le vidéoclip de Do The Bartman); en fait, il s’agit pour lui d’une toute première réalisation avec de véritables acteurs faits de chair, de muscle et d’os.

– ‘xim Sauriol

Quand Neil Gaiman chante sur Jeanne d’Arc

Prenez l’émission radiophonique phare et légendaire A Prairie Home Companion, donnez lui un aspect plus geek, plus tipsy (légèrement saoul) et, bien sûr, beaucoup plus jeune, cela donne WITS. Cette émission qui est diffusée sur la radio publique du Minnesota reçoit des auteurs, des écrivains… et transforme le tout en une grande fiesta musicale. 

Vendredi passé, pour la dernière de la saison, Neil Gaiman y était présent et y a chanté une chanson qu’il a écrite sur la Pucelle d’Orléans. Il a performé cela avec Josh Ritter ainsi que l’orchestre maison.

– ‘xim Sauriol

Source

P.-S. Il y a quelques semaines, dans cet état du Midwest états-unien, il y avait une controverse sur les subventions que recevait la radio publique et les organismes d’art en général. Les républicains pointaient du doigt, entre autres, les 45 000 $ que Neil Gaiman avait reçu pour une présence de quatre heures à la bibliothèque de Stillwater et le leader parlementaire disait réellement le détester.