Cette semaine, rien ne va plus chez Activision Blizzard, le légendaire animateur japonais Hayao Miyazaki sort de sa retraite et « Reptilian Rising » est le jeu Steam à surveiller selon Marie-Lune. Chen nous livre son appréciation de la nouvelle série de Hulk de Donny Cates et de la nouvelle édition de « Rocky 4 » en plus de faire part de ses achats lors du Vendredi fou de « Vinegar Syndrome ». Jeik a lu pour nos les BD « 1984 » de 1984 Xavier Coste et « Atomahawk ». Laurent nous parle de « J’ai vu les soucoupes » de Sandrine Kerion et est bien excité de voir la Matrice (il en est le premier surpris). Benoit livre en rafale les nouvelles concernant le futur des « Power Rangers » chez Netflix et celui de la franchise « Ghostbusters » selon le réalisateur du plus récent film, Jason Reitman.
En dernière partie d’émission, on discute de « The Departement of Truth Vol.1: The End of the World » de James Tynion IV et Martin Simmonds, publié chez Image Comics.
L’utilisateur YouTube Pixels per Second a regardé avec sa mère le classique The Matrix, qu’elle ne connaissait pas et n’avait donc jamais vu, puis il lui a demandé de décrire le film, ce qu’elle fit alors qu’il l’enregistrait. Il a ensuite animé son explication et il en a résulté une vidéo amusante que voici :
Cette vidéo où l’on voit des scènes tirées de films célèbres tels que The Shining, The Matrix et Die Hard devient vite redondante, mais elle est tout de même fort amusante.
Matt Mulholland est un jeune états-unien qui s’amuse à faire des versions a cappella de chansons populaires et de scènes iconiques du 7e art (dont une de The Matrix). Sa dernière création est la fameuse scène de rouli-roulant de Back To The Future (où la mère de Marty McFly tombe amoureuse de lui). La voici :
L’automne dernier, une version a cappella d’Inception avait connu du succès sur le net. C’est donc sans surprise que certains vidéastes ont décidé d’appliquer ce concept à d’autres succès cinématographiques. Cette fois-ci, c’est le néo-zélandais Matt Mulholland qui a produit une telle version de The Matrix. Voici son oeuvre tout en cascades et en cordes vocales :
Kaydara est un fan film français basé sur la trilogie de la Matrice réalisée par les frères Wachowskis.
Description officielle :
Kaydara, un chasseur de primes qui vit séparé de la résistance humaine et qui ne croit pas en la prophétie de l’élu. Il voit ce sauveur comme une menace pour l’éveil de la conscience de l’homme et le considère comme un ennemi. Si leurs chemins se croisent, Kaydara n’hésitera pas à lui faire face.
Réalisé par Raphael Hernandez et Savitri Joly-Gonfard, Kaydara est d’une durée de 55 minutes. Des options pour des sous-titres en français, en allemand et en espagnol sont disponibles.
Razy Gogonea, un britannique d’origine roumaine âgé de 28 ans, a récemment participé à l’un des freak-shows les plus populaires du monde : Britain’s Got Talent. Il y est apparu vêtu comme le héros de La Matrice et y a démontré ses talents de danseurs. Il y a effectué une chorégraphie inspirée de ce film-culte, sur une chanson issue de la bande sonore (Clubbed To Death de Rob Dougan). Sa performance fut couronnée de succès et David Hasselhoff l’a même comparé à un jeu vidéo vivant.
Malgré ce que vous avez pu lire sur les intratubes, n’y aura pas des nouveaux films de la Matrice en 3D. La foire aux rumeurs a débuté du côté Ain’t It Cool News lorsqu’un lecteur du populaire site internet a annoncé que Keanu Reeves avait fait une conférence au London School of Performing Arts.
Selon l’internaute, l’acteur aurait déclaré durant son discours qu’il avait rencontré les frères Wachowski, réalisateurs de la trilogie de la Matrice, concernant un éventuel retour à la franchise. L’individu a poursuivi en annonçant que Reeves et les Wachowski prévoyaient 2 nouveaux films, ceux-ci auraient été faits en 3D.
Screen Rant a contacté London School of Performing Arts pour confirmer le tout, les dirigeants de l’école ont déclaré au site internet que Keanu Reeves n’était pas passé à l’école, mettant ainsi fin à la rumeur.
Oubliez les plans parfaits, la synchronisation d’Interventions maladives et la vacuité des grosses productions. L’air du Web, c’est l’âge de la démocratisation des outils de communication. Une grosse phrase bien pompeuse qui signifie qu’aujourd’hui on a la possibilité de jouer dans les cours des grands et de créer de toutes pièces nos contenus.
Qu’ils soient maladroits ou non. Bien exécuté ou « pique pique », ce qui prédomine dans les vidéos et autres contenus construits par les utilisateurs, c’est l’idée.
Le concept a pris le dessus sur l’image aseptisée bourrée d’infographie à n’en plus finir. Il s’en dégage des œuvres inusitées, des exercices de style et bien sûr des hommages.
Je ne suis pas de ceux qui conclurent en voyant sur YouTube la quantité astronomique de vidéos qui reprennent des thèmes que la masse est aliéné.
J’y vois des gens réflectifs, qui au contraire font des liens et son capable de relativiste ce qui leur est bombardé. Dans une société postmoderniste noyée par les contenus (audio, vidéo, écrit), c’est pour moi un signe d’intelligence.
Je tenais à exprimer cette vision. Vous verrez sur ce blogue à plusieurs reprises des vidéos comme celui qui suit.