Fantasia 2011, Jour 6: MIDNIGHT SON-fils déchu de race surhumaine

Cette critique est légèrement tardive, mais je trouve approprié de la faire après en avoir parlé avec le plus de gens possible. La polarité qui entoure Midnight son est assez surprenante. Navet de Fantasia 2011 pour certains, le film de vampire appelé à devenir culte pour d’autres.
 Est-ce surprenant? Nous sommes actuellement dans le creux de la monstrueuse vague d’histoires de vampire qui revient sporadiquement éclabousser le public à toutes les décennies. Tout le monde a forcément une prédilection pour un certain type d’histoire de suceurs de sang. Personnellement, si on exclu le bouleversant Let the right one in, j’attendais ce type de film avec impatience. Depuis le terriblement sous-estimé The Addiction d’Abel Ferrara, en fait. Ceux qui ont soif de vampires « naturalistes » seront grandement désaltérés (à ce sujet, nous vous recommandons notre émission sur ce thème ici même)
 Jacob a une condition de peau qui l’empêche de vivre sous la lumière du soleil. Il vit donc la nuit et travaille comme gardien de sécurité. Il n’a que très peu de contacts humains et il peint à cœur de jour de magnifiques toiles où brille ce soleil qui est une menace pour lui. Ces derniers temps, rien ne semble rassasier sa fin grandissante… à part la nourriture très saignante. C’est à ce moment consternant de sa vie monotone qu’il rencontre une autre âme solitaire. Mary, serveuse et toxico, créature aussi nocturne que lui et encore plus tourmentée. Le désir s’installe peu à peu entre les deux âmes blessées. 
 Midnight son ne réinvente pas le mythe vampirique. Il reprend les codes classiques du genre pour les distiller un compte-goutte avec un réalisme assumé. L’évolution psychologique du personnage et la découverte de son état se font à pas feutrés, jusqu’à l’inévitable conclusion.   La banalité de son quotidien nocturne traversé de mélancolie est particulièrement crédible.  
Plus que jamais, le vampirisme apparait ici comme une véritable condition, une maladie, une toxicomanie. Il n’est pas ici une métaphore comme dans l’existentialiste film de Ferrara: Jacob est en tout point un junkie qui veut retrouver son thrill initial et en redoute les conséquences. Car Midnight Son est également une histoire de drogue, avec son lot de dealer et de clichés inhérents à ce genre également. À ce titre, il faut voir la scène où Jacob fait découverte du sang frais, aussi efficace que chargée de double sens. Les efforts que doit fournir le pâle jeune homme pour avoir un fix donnent lieu aux scènes les plus puissantes (et sanglantes) du film, tour à tour pathétiques et troublantes.
Tout en assumant son réalisme, Midnight son prend quand même le risque de conserver la dimension romantique du vampire, au plus pur sens du terme. À ce niveau, c’est tout ou rien. Plusieurs décrocherons. D’autres, (c’est mon cas), seront aspirés par la passion qui nait entre Jacob et Mary. .Dans le rôle de Jacob, le jeune Zak Kilbe, sorte de croisement entre Jude Law et Joseph Gordon-Levitt, est tout en nuances. Par moment, on croirait voir une variation vampirique du drame romantique Untamed Heart avec Marisa Tomei et Christian Slater (come on! Qui n’aime pas ce film là?)
 Dans ses thèmes comme dans sa facture, Midnight son est l’antidote du film de vampire hollywoodien. On y explore les thèmes les plus profonds de la créature: les liens étroits entre Éros et Thanatos, la solitude, la souffrance et la soif d’amour qui double celle du sang. Une très belle trouvaille de la part des gens de Fantasia.
-FRANCIS OUELLETTE

La sortie de Man of Steel est repoussée

Warner Bros. a annoncé jeudi dernier au Comic-Con International que la sortie du «reboot» cinématographique de Superman du réalisateur Zack Snyder sera reporté au 14 juin 2013 à la place du mois de décembre 2012 comme il avait été préalablement annoncé.

Man of Steel serait vraisemblablement reporté afin de ne pas rentrer en conflit avec la sortie de d’autres longs-métrages à grand déploiement tel que The Hobbit : An Unexpected Journey, Lone Ranger de Disney et prochain film de Quentin Tarantino, Django Unchained.

– Benoit Mercier

Jackman révèle qui affrontera le Wolverine dans le prochain film

Lors d’une conférence de presse organisée dans le cadre de la sortie du film Real Steel qui avait lieu au Comic-con International, l’acteur Hugh Jackman a confirmé le vilain qu’affrontera le Wolverine dans le film du même nom. Selon Jackman, il s’agira du Silver Samurai, un mutant bien entrainé dans l’art de manier les katana.

« Chris McQuarrie a écrit un script fantastique qui devrait se révéler très bon à l’écran », a déclaré Jackman. « Je combattrai le Silver Samurai, alors cela risque d’être excitant. La majorité du tournage aura lieu au Japon ».

Réalisé par James Mangold (3:10 to Yuma, Walk the Line et Knight and Day), le tournage de The Wolverine débutera en vraisembablement en octobre prochain pour être par la suite projeté en salle un an un plus tard.

The Wolverine écrit par Christopher McQuarrie (The Usual Suspects, Valkyrie), est basés sur la minisérie de 1982 Wolverine écrite par Chris Claremont et dessinée par Frank Miller. Dans celle-ci Logan se retrouve au Japon confronté à une horde de ninjas aux services d’une organisation criminelle de Tokyo. Le mutant y tentera par tous les moyens de récupérer son ancienne amante elle-même fille du chef de l’organisation.

– Benoit Mercier

Écoutez 6 minutes du pilot de Wonder Woman

Que Dieu bénit les internes et son contenu illicite. Environ 6 minutes du pilot de la télésérie de Wonder Woman élaborée par David E. Kelley et mettant en vedette Adrianne Palicki sont maintenant disponibles sur les internets. Écoutez-les avant qu’il soit retiré!

– Benoit Mercier

http://www.dailymotion.com/video/xk0s1h_footage-from-failed-wonder-woman-tv-pilot_shortfilms http://www.dailymotion.com/video/xk0s0n_footage-from-failed-wonder-woman-tv-pilot-hospital-scene_shortfilms http://www.dailymotion.com/video/xk0ryq_footage-from-failed-wonder-woman-tv-pilot-run-chase_shortfilms

Fantasia, jour 7 : Bullhead

Bullhead est certainement l’un des films les plus bouleversants que j’ai eu la chance de voir cette année au festival Fantasia. Réalisé par le metteur en scène belge Michaël R. Roskam, ce long-métrage d’une puissance étonnante saura venir vous soutirer quelques larmes. Pour ma part, il est parvenu à obtenir la première position de mon palmarès personnel.

Présenté au départ sous les allures d’un film de mafia se déroulant dans le milieu de l’élevage bovin, Bullhead prend rapidement un tournant vers le récit personnel et intimiste. C’est avant tout l’histoire d’une amitié et celle du parcours d’un personnage blessé au passé tragique qui tente tant bien que mal de vivre une vie normale et ultimement d’éprouver le sentiment qu’il a le droit d’être un homme et d’aimer

Les familles de Jacky Vanmarsenille (Matthias Schoenaerts) et Diederik (Jeroen Perceval), des amis d’enfance, travaillent dans le milieu de l’élevage bovin. La seule tache au tableau, leurs bêtes sont bourrées d’hormones illicites, une pratique aussi lucrative qu’illégale en Belgique. Un évènement viendra bouleverser la vie du jeune Vanmarsenille lorsqu’il se fera littéralement pulvériser les testicules par un jeune garçon à peine plus vieux que lui. Cet évènement transformera à jamais la relation qui unissait Jacky et Diederik. Plusieurs années plus tard, le meurtre d’un policier qui enquête sur le trafic d’hormones risque de se retrouver lié à Jacky. Par chance, cet événement fera croiser les chemins des deux hommes à nouveau.

Au fur et à mesure que le récit se dévoile, nous quittons l’intrigue policières pour en apprendre davantage sur Jacky. Celui-ci a dû à son adolescence prendre de la testostérone afin que son corps se transforme en celui d’un homme. Une pratique qu’il n’a jamais laissée de côté et qui s’est développée avec les années en une habitude maladive, quasi compulsive, de consommer des stéroïdes de toute sorte. Ce parallèle entre la consommation de stéroïdes et l’élevega de bêtes de ferme est plus qu’une simple métaphore élaborée pour un cours de scénarisation au collège. Elle aurait pu très bien tomber à plat si elle n’avait pas été appuyée par une histoire aussi prenante que tragique.

Matthias Schoenaerts dans le rôle de Jacky porte le film sur ses épaules. Si au début il nous est antipathique sous ses airs d’homme dur, on découvre qu’il s’agit en fait d’un masque qu’il s’est construit au fil des ans. Il devient curieusement un personnage émouvant pour qui on ne veut que du bien. En effet, rien n’est de plus poignant que de le voir mal à l’aise dans son corps de colosse, son tempérament à fleurs de peau et prêt à sauter à la gorge du premier qui lui manquera le moindre respect. On le sent à l’étroit et maladroit, spécialement quand il tente de séduire un vieil amour de jeunesse. On se retrouve à souhaiter du bonheur en espérant de tout coeur qu’il saura se contrôler et surpasser ses blessures émotives.

Sans qu’on nous prenne par la main, on comprend ce qui motive Jacky et ce qui fait de lui l’homme qu’il est aujourd’hui. Cette dimension humaine et complexe et beaucoup plus intéressante que les rares scènes d’action que l’on retrouve à quelques reprises dans le film. Quant à lui, même si son parcours est moins mis de l’avant, Diederik est un personnage tout aussi attachant. Affligé par les mêmes évènements que Jacky, il asseye maintenant de faire ce qui est juste. Une épreuve qui n’a rien de facile lorsqu’il devra choisir entre son ami et ce qui est juste.

BullHead n’a rien de moralisateur. Sans prendre position sur les agissements amoraux de ses personnages, il ne fait qu’exposer ses protagonistes dans tout ce qu’ils ont de plus humain, autant leurs qualités que leurs faiblesses. C’est un récit touchant qui ne laissera personne d’indifférent.

– Benoit Mercier

Fantasia, jour 7 : Ironclad

Ce n’est évidemment pas Fantasia sans que quelques membres soient sectionnés et que de l’hémoglobine ait été répandue… à l’écran bien entendu. Au milieu d’une sélection de films plus réfléchis, expérimentaux ou atmosphériques, le public de Fantasia sait qu’il sera toujours bien servi grâce à de longs-métrages particulièrement sanglants et violents. Parce que de toute manière, qui peut vraiment se vanter de ne pas aimer voir des gens qui se tapoche dessus?

Ironclad du réalisateur britannique Jonathan English saura satisfaire les amateurs d’effusion de sang en quête d’un bon film médiéval où l’honneur, l’épée et la foi sont tout ce dont un homme a véritablement besoin dans la vie.

L’histoire est simple. À la suite d’une rébellion qui réduisit le pouvoir de la monarchie sur son royaume, le cruel roi John, interprété par l’acteur Paul Giamatti, engage une armée composée de mercenaires danois afin de reprendre le contrôle de l’Angleterre et de rétablir le pouvoir absolut de son trône. Il est opposé par un petit groupe d’hommes qui s’est saisi une fortification stratégique et essentielle pour envahir le reste du pays. À la tête de la bande, on retrouve un chevalier de l’ordre des templiers (James Purefoy) qui ne reculera devant rien afin d’empêcher la chute de la forteresse et de préserver la liberté du peuple Anglais. Alors qu’un long siège est établi autour du château et que les vives diminuent à vue d’oeil pour le groupe de rebelles, une tension amoureuse se développera entre le templier et une jeune femme de la cour.

On ne peut pas prétendre qu’Ironclad n’est pas efficace. Les scènes de combat sont impressionnantes et particulièrement bien chorégraphiées. Que ce soit pour le combat corps à corps ou pour ses scènes d’assaut à grande échelle contre la forteresse, celles-ci sont désarmantes par leur réalisme saisissant et par leur cruauté dont nous sommes les témoins. Têtes, bras, jambes, aucune censure n’est appliquée lorsqu’un homme est terrassé d’un coup d’épée, de hache ou bien de massue. Pas une mort ne passe inaperçue et est similaire à une autre. Au grand plaisir de l’auditoire de Fantasia qui accompagna chacune de ces séquences par une vague d’applaudissements et de cris. Armé d’une longue épée, le templier se montre particulièrement efficace contre les soldats du roi en nous offrant un style de combat particulier dont il est rare que l’on voie à l’écran.

Mais au-delà de la violence, le récit reste plutôt simplet et sans grand bouleversement. Le groupe de résistants est n’y attachant ou particulièrement sympathique. Sans attache émotionnelle dirigée vers nos héros, on reste passif lors du décès de l’un d’entre eux. Même si elle ne nuit pas au récit comme tel, l’histoire d’amour entre le templier et la jeune femme est sans intérêt et est prévisible. Il est beaucoup plus intéressent d’en apprendre sur le chevalier et sur sa vision de la foi et de la guerre que sur l’attirance qu’il porte envers la dame de la cour qui pour sa part est sans grande profondeur et inutile au développement de l’histoire. Heureusement, une dimension politique au récit apporte un peu de chair à l’oeuvre qui sinon reste simpliste.

La fin est malheureusement prévisible et encore une fois demeure de surface. Ironclad est malgré tout un film divertissant si ce n’est que pour ses scènes d’action, mais ne vous attendez pas à un film qui fera transcender le genre.

– Benoit Mercier

Fantasia, jour 6 : One Hundred Years of Evil (Et si Hitler avait survécu et vivait aux U.S.A.)

One Hundred Years of Evil est un documenteur qui emprunte une prémisse des plus intéressantes et certainement jamais empruntée au cinéma. Serait-ce possible qu’Adolf Hitler aurait eu une telle fureur de vivre, qu’il ne se serait pas suicidé d’une balle dans la tête dans son bunker au coté de sa bien-aimée (Eva Braun), mais qu’il aurait plutôt été fait prisonnier par les américains avec plusieurs de ses sosies? Et que suite à sa libération, il aurait vécu aux États-Unis sous une autre identité (Adolf Munchenhauser)? C’est ce que croit le chercheur norvégien Skule Antonsen et le documentariste espagnol Idelfonso Elizalde. Ces deux comparses partent à la recherche des traces de ce M. Munchenhauser au péril de leurs vies, pour prouver que le Fuhrer a bel et bien vécu au pays de l’Oncle Sam et qu’il était protégé par la C.I.A.

Diffusé un mardi à 17h30, dans la petite salle (de Sève), il ne fallait pas s’attendre à un grand film, mais, par son sujet, c’était définitivement un des films à voir. Il en ressort un film qui mêlent les faits et la fiction comme Peter Jackson le faisait dans Forgotten Silver, et les scènes d’entrevues, de réels se mêlent; tout comme la comédie et le suspense. Malheureusement, bien que le film soit souvent très hilarant, les scènes d’action sont de véritables pétards mouillés, il n’y a aucune tension. Pour ce qui est des performances d’acteurs, elles sont plus que justes (pour les principaux), mais un peu trop caricaturales pour les seconds rôles (comme les agents d’immigration). Il faut saluer le scénario, plus qu’ingénieux; toutefois, vers la fin, il s’essouffle, le rythme ralentit. Le film ne dure que 80 minutes et une quinzaine de minutes de moins n’aurait pas fait de tort. On peut blâmer le budget plus que microscopique, pour certaines de ses faiblesses.

Cela m’étonnerait que ce film soit diffusé à nouveau à Montréal sur écran géant, hormis le mardi 26 juillet prochain à 13 h (de Sève). Je lui donne 3 thumbs up et 2 thumbs down (3/5), mais malgré cette note et ses faiblesses, ce film vaut réellement la peine d’être vu.

Voici la bande-annonce qui en dévoile un peu trop :

– ‘xim Sauriol

Court extrait de la prochaine saison de Doctor Who

Voici un très bref aperçu de la prochaine saison de Doctor Who. L’extrait d’une durée de sept secondes est tiré d’une bande-annonce beaucoup plus longue qui annonce la vue de télésérie présentée sur la chaîne BBC.

On peut y voir le personnage d’Amy Pond (Karen Gillan), en plein combat, armée d’épées ainsi qu’une séquence dans laquelle l’acteur Craig (James Corden), un personnage de l’épisode The Lodger de la saison 5, est sur le point de se faire embrasser par le Doctor?

Doctor Who sera de retour sur les ondes en septembre prochain.

– Benoit Mercier

Universal délaisse The Dark Tower

Deadline rapporte que Universal a définitivement mis de côté le projet d’adaptation cinématographique de The Dark Tower, basé sur une série de roman de l’auteur américain Stephen King.

Rappelons que quelques mois après le désistement de J.J. Abrams, le projet est passé entre les mains de Ron Howard, Brian Grazer et Akiva Goldsman pour le compte de Weed Road Pictures et Imagine Entertainment.

Maintenant, les studios délaissent le projet pour des raisons budgétaires. En effet, l’adaptation des romans de King se serait avérée trop couteuse surtout si l’on considère qu’une télésérie de plusieurs saisons devait à l’origine relier les longs-métrages.

Warner Bros. pourrait éventuellement prendre le flambeau, mais ceci reste à voir. Aucun détail n’a également été annoncé selon la participation éventuelle de Javier Bardem, l’acteur sélectionné pour interpréter le pistolero Roland Deschain.

– Benoit Mercier

Kevin Costner dans le prochain Tarantino?

The Warp rapporte que l’acteur Kevin Costner serait présentement en négociation pour obtenir un rôle dans Django Unchained, un western du réalisateur Quentin Tarantino.

Si Costner parvient à avoir le rôle, il incarnera Ace Woody, un homme de main au service de Calvin Candie (Leonardo DiCaprio), le principal antagoniste du film.

Par ailleurs, rappelons que Kevin Costner tiendra le rôle de Jonathan Kent, le père de Clark Kent, alias Superman, dans le très attendu long-métrage du réalisateur Zack Snyder, Man of Steel.

– Benoit Mercier

Films directe en video du 26 juillet, les bandes-annonces.

Pour faire une « genre » de suite aux bandes-annonces publié par Benoit sur trois gros morceaux de geekitude pour 2012, je vous présente 3 petits morceaux de l’autre coté du spectrum. Le direct-to-video.

Voici trois films qui sortent directement en dvd mardi prochain, soit le 26 juillet. Trois sorties dont j’ai parlé à notre dernière émission.

En premier lieu, voici la bande-annonce de BORN TO RIDE, un film de motard mettant en vedette monsieur RICO de STARSHIP TROOPER: Casper Van Dien et un habitué du genre DTV, William Forsythe.

En deuxième, voici Kevin Sorbo (HERCULES) dans le rôle d’Arnold dans cette copie pâlotte de PREDATOR ou on remplace le prédateur par un cyborg. FLESH WOUNDS (une bande annonce de meilleur qualité est disponible sur imdb.)

Et je vous laisse avec FAST ZOMBIES WITH GUNS. Ai-je besoin d’en dire plus? «…for Jesus! »

Simon Chen Chénier

Un film de Captain Planet est en développement

Cartoon Network a confirmé par le biais d’un communiqué de presse qu’un film «live-action» basé sur le dessin animé de Captain Planet and the Planeteers était présentement en développement en partenariat avec Angry Filmworks.

Captain Planet and the Planeteers a vu le jour en 1990. Initialement, deux saisons de la série ont été diffusées. La télésérie a par la suite changé de nom pour devenir The New Adventures of Captain Planet, celle-ci a eu droit à 3 saisons supplémentaires.

Captain Planet raconte les aventures d’un groupe de cinq jeunes provenant des quatre coins du globe à qui Gaïa, l’esprit de la Terre, leur a offert des bagues magiques permettant de contrôler les éléments de l’eau, du feu, de la terre, du vent et du cœur des hommes. Une fois combinées, les bagues forment un justicier du nom de Captain Planet, une entité super héroïque chargée de protéger la planète contre la pollution.

Oui, il porte bel et bien une « coupe Longueuil » verte.

– Benoit Mercier

De The Dark Knight à Spider-Man en passant par The Walking Dead

Je prends une petite pause de notre couverture de Fantasia pour vous livrer quelques nouvelles de pop culture. Il semblerait que je suis passé à côté de quelques nouvelles bandes-annonces dans les derniers. Donc pour me rattraper, voici celles de The Dark Knight Rises, The Walking Dead saison 2 et le tout nouveau Spider-Man.

– Benoit Mercier

Cliquez ici pour la bande-annonce de The Amazing Spider-Man pendant qu’elle y est encore!