Première bande-annonce du « prequel » de The Thing

Je suis un peu en retard. Autant pour les nouvelles que cette mise à jour. Ce fut une grosse semaine en plus du festival Fantasia qui débutait justement hier. Je vais tenter de garder nos bonnes vieilles habitudes de mettre ce site à jour de manière hebdomadaire. Ne vous inquiétez pas, nous sommes toujours là.

Ceci étant dit, pourquoi ne pas visionner la toute première bande-annonce de The Thing, un film « prequel » au long-métrage d’horreur classique du réalisateur John Carpenter.

En Antarctique, les membres d’une expédition scientifique isolée doivent survivre à la découverte d’un organisme extraterrestre qui a la possibilité de prendre l’aspect qu’il désire. La paranoïa s’empare de groupe alors que les membres de l’équipe se demandent lesquels d’entre eux sont la créature.

Réalisé par Matthijs van Heijningen Jr., The Thing met en vedette Mary Elizabeth Winstead, Joel Edgerton et Ulrich Thomsen.

Après avoir joué plusieurs fois avec la date de sortie, Universal Pictures que le film sortira en salle le 14 octobre prochain.

– Benoit Mercier

Video: ‘The Thing’ Movie Trailer

Fantasia 2011, Jour 1: King of devil’s island

C’était une très bonne idée et un bon coup de la part des organisateurs de Fantasia de débuter le festival avec Red state, la première incursion de Kevin Smith dans le film de genre. Après tout, qui de mieux que le pape de l’intelligentsia geek  pour partir le bal du quinzième, d’emblée avec un film d’horreur? Le tout prend des airs de consécration non? Tarantino, Scott Pilgrim…et maintenant Kevin Smith. Une suite logique, ce me semble.

J’ai on ne peut plus hâte de lire les critiques nombreuses et inévitables qui vont suivre…parce que pendant que tout le monde se préparait à recevoir le brûlot de Smith en pleine tronche, on se gelait l’âme dans l’enfer blanc de la salle d’en face juste pour vous…et il ne nous viendrait pas à l’esprit de nous en plaindre! Certain vont à Fantasia pour le divertissement, la stimulation intellectuelle, le dépaysement, l’hystérie collective. J’y vais moi même pour toute ces raisons mais je favorise plus que tout autre un type de stimulation bien précis: je veux me faire torturer. Je veux le bouleversement, l’étourdissement. Je cherche ces films cruels dont Fantasia a le secret.

Si vous êtes comme moi, King of the devil’s island sera un passage obligé cette année. Rien comme une overdose d’injustice montrée froidement à l’écran pour nouer un estomac et vous faire serrer les poings.

Nous sommes en 1915 et il y a quelque chose de pourri au royaume de Norvège. Dans le centre correctionnel de l’île Bastoy, des jeunes hommes accusés de crimes souvent risibles vivent dans des conditions rappelant la prison ou les camps de concentrations. Abolition de l’identité, travaux forcé, rationnement, humiliation publique et punitions physiques . Tout ça pour le bien de ces jeunes sauvages, évidemment. Jusqu’à l’arrivée d’Erling, 17 ans, baleinier, accusé de meurtre. Une âme indomptable qui n’a pas l’intention de se laisser briser, peu importe ce qu’on lui fera subir.Le film de Marius Holt est un grand hymne au froid, celui de la Norvège mais aussi celui du cœur de petits hommes risibles assoiffés de contrôle. Entre la photographie bleutée (rappelant celle de Let the right one in) et les constantes exhalaisons sortant de la bouche des  jeunes hommes (même lorsqu’ils dorment), il donne littéralement froid dans le dos. Quelques notes lancinantes de violons s’élèvent sporadiquement, lamentant le sort des enfants. Personne ne fait mieux la mélancolie que les scandinaves.L’autre froideur qui traverse le film, c’est celle de l’immense Stellan Skarsgard. Visiblement content de jouer ce rôle, le grand Danois a laissé tomber le pilote automatique de ces insipides tours de piste hollywoodiens et retrouve son ténébreux regard, celui qu’il avait à l’époque de Insomnia et Breaking the waves. Les jeunes comédiens, à l’instar de leur personnage, ne s’en laissent pas imposer. Le jeune Benjamin Helsatd en particulier qui  transpire la révolte et possède un regard traversé d’intelligence brute.

Fonctionnant comme un The Magdalene sisters qui serait doublé d’un film de prison, King of devil’s island ne tente pas de réinventer le genre « carcéral » mais il tire parfaitement et efficacement sur ses cordes les plus tendues.

Reste que la grande valeur de ce film glacial est son invitation à la révolte. (Je n’ai pas eu envie de me battre autant pendant un film depuis Das Experiment!). Devant l’étroitesse d’esprit d’individus assoiffés de contrôle et de respect forcé, il n’y a pas de réponse plus urgentes que la désobéissance et l’insoumission…

On rappelle qu’une seconde projection aura lieu le 17 juillet à 17h20.

FRANCIS OUELLETTE

Les films d’Harry Potter en cinq minutes

Harry Potter and the Deadly Hallows Part 2 , le huitième et dernier film adapté de la saga de J.K. Rowling envahira les écrans ce vendredi. Pour ceux qui n’ont vu aucun des autres longs métrages ou pour ceux qui veulent faire la synthèse des aventures de ce jeune sorcier sans se taper près de 20 heures de pellicules, la Warner a préparé un court vidéo résumant en cinq minutes les sept premier films. De quoi pouvoir profiter de cet événement cinématographique sans être perdu. Le voici :

– ‘xim Sauriol

Juan of the Dead : premier film d’horreur cubain

Rares sont les films cubains qui franchissent le seuil de leurs frontières. Voici une exception, Juan of the Dead, qui est aussi le tout premier film d’horreur de cette contrée caraïbéenne. L’oeuvre d’un certain Alejandro Bruges (le réalisateur ainsi que le scénariste) est en quelque sorte un mélange entre Shaun of the Dead et Six-String Samurai et son récit traite d’une invasion de zombies dont le gouvernement clame que c’est une attaque perpétrée par les États-Unis. Un certain Juan décide alors de prendre les choses en main et de se débarrasser de ces morts-vivants.

Voici la bande-annonce de cette comédie sociale qui traite sur les cubains et comment ils réagissent face à une crise :

Le film vient tout juste d’être complété et il devrait bientôt faire le tour des festivals cinématographique. [Peut-être à Fantasia l’an prochain?]

– ‘xim Sauriol

Source

Le logo de Superman dissimulé dans l’affiche de The Dark Knight Rises?

Mercredi dernier, la première affiche promotionnelle du prochain film de BatmanThe Dark Knight Rises, a été dévoilée. Depuis une rumeur folle/fondée court à l’effet que le logo de Superman serait caché en ce poster. Pouvez-vous le trouver? Sinon, cliquer ici.

Ceux qui croient à une telle présence clament que ce serait une stratégie marketing pour mousser la sortie du prochain Superman, intitulé Man of Steel, qui sortira comme ce film en 2012. Ce qui est fort plausible puisque ces deux films sont produits par la Warner, DC Comics et Christopher Nolan.

Tandis que les détracteurs expliquent que ce n’est que de la paréidolie, qui est « un type d’illusion qui fait qu’un stimulus généralement visuel, vague ou ambigu, est perçu par un individu comme clair et distinct et est rapproché d’une forme physique connue. »

– ‘xim Sauriol

Les bruitages de Transformers: Dark of the Moon

Le métier de bruiteur n’est malheureusement pas des plus prestigieux. Pourtant, l’imagination et la débrouillardise que cela requiert sont plus qu’admirables. Voici un court vidéo où les bruiteurs de Transformers: Dark of the Moon expliquent comment ils ont créé les effets sonores de ce film avec de la glace sèche, une guitare électrique, de véritables fusils… :

– ‘xim Sauriol

Source

The Dark Side Dubstep

Eclectic Method est un trio d’artistes remixeurs qui réarrange les images et les sons de vidéos, films et jeux vidéo pour le grand plaisir des foules. Ils ont déjà performé dans plus de 100 villes réparties dans 34 pays, et ce, sur 6 continents [permettez-moi de douter sur ce dernier point, car le sixième et dernier continent est l’Antarctique]. Ils partagent de courts extraits vidéo de leurs oeuvres sur le net, le dernier en date est un remix de Star Wars, le voici :

– ‘xim Sauriol

Neil Gaiman dans un falafel (et bien plus)!

Dans un épisode de la télésérie Arthur (produite par Cinar, devenu depuis Cookie Jar Entertainment), Sue Ellen, l’un des personnages principaux, reçoit des conseils de la part de nul autre que Neil Gaiman. Il lui apprend à bien écrire et où trouver de l’inspiration. Préparez-vous à voir ce légendaire auteur comme vous ne l’avez jamais vu.

– ‘xim Sauriol

Fantasia 2011: Conférence de presse:l’envol du Cheval noir

Lorsque j’ai vu les premières images du cheval noir déployant furieusement ses ailes sur les images publicitaires et le programme officiel du Festival Fantasia 2001 , j’ai été littéralement bouleversé. Les gens de Fantasia ont eu énormément de flair en la choisissant. Voyez vous, ce cheval provient d’une importante  légende québécoise, dont l’origine est élusive, comme toutes bonnes légendes. On peut apercevoir par exemple cette image iconique sur les bouteille de bière Trois Pistoles (un des potentiels lieux de provenance de la légende). En l’occurrence, ce cheval noir, ce n’est nul autre que le diable, le Malin  harnaché qui aide les hommes dans leur travaux les plus éreintants. Mais gare à ceux qui lui retireront sa bride.
Bravo au gens de Fantasia d’avoir eu cette idée inspirée. L’icône est forte mais la charge du symbole est encore plus appropriée. N’est-ce pas  précisément ce que les gens de Fantasia font à chaque années, bâtir quelque chose à bout de souffle, ériger une église, un lieu de rencontre en harnachant littéralement le démon? Le démon, c’est nous,  cinéphiles assoiffés de sensations fortes, de scènes chargées à bloc de violence et de vices, galopant comme des chevaux fous pour acheter nos billets et regarder 4 films par jour. Le démon, c’est aussi ce cinéma furieux et déchainé dont nous avons tous soif.
Plus encore, ce cheval, dans toute sa gloire, est un symbole profondément québécois. Pour son quinzième anniversaire, Fantasia rappelle à ses fidèles ses appartenances. Si le festival est ouvert sur la cinématographie mondiale, il a profondément et plus que jamais à cœur la cinématographie québécoise. 

À la conférence de presse d’hier, je voulais de toutes mes forces voir une statue ou un  trophée qui serait le symbole commémoratif de Fantasia. ET PAF! Le voilà le putain de trophée! Les meilleurs films seront désormais honorés par ce symbole sur un petit piédestal. Ça prenait un symbole unificateur et le voilà, ciboire! Attendez de voir  la publicité officielle, avec ce même cheval et Dominique Lévesque… c’est du grand art.  Tout ce que représente Fantasia engoncé dans une pub de quelques secondes.

Mais je digresse…

Il y avait une frénésie dans l’air hier à la conférence de presse. Cette 15ème édition prenait des allures de consécration méritée. Après le triomphe de l’année dernière, certains concepts sont de retour et de nouveaux viennent s’y greffer: un nombre effarant de personnalité seront là (plus de 100 invités, allant de Richard Stanley’ Ted Kotcheff à Udo Kier, de John Landis qui recevra un prix commémoratif à Robin Hardy), des conférences, des master class, une projection de Phantom of the opera avec orchestre interprétant une composition originale de Gabriel Thibaudeau. L’événement sera tout simplement plus massif que jamais. Un colloque tenue par 4 femmes sur l’horreur au féminin, une conférence sur la mythologie des Studios Hammer! Vous pourrez même aller voir gratuitement voir des films avec vos enfants; ils ont prévu des projections pour eux, ces maniaques!
Du côté du cinéma occidental, un volet intitulé Payback in black: the new wave, continuation du concept de l’an dernier couvrant le cinéma en caméra subjective.  J’ai l’eau à la bouche pour  VICTIMS de David Bryant, qui a le culot de dérouler son suspense en un seul plan-séquence
Voilà deux ans de cela, le 7ème antiquaire faisait un podcast sur l’importance des producteurs André Link et John Dunning dans l’émergence du cinéma de genre québécois et canadien :Cinépix et son héritage: Ciboire! Tu veux tu ben m’dire dayousski z’ont crissé nos grands films de genre du Québec???
Fantasia fournie la réponse à notre question en présentant un hommage bien mérité aux productions de ces pionniers, sorte de Roger Corman doublé de têtes à Papineau: My pinball summer, my bloody valentine, Daughter of darkness, Visiting hour et un préféré des Mystérieux étonnants, FRANKENSTEIN 2000!!!!! 
FRANKENSTEIN  2000 sur grand écran !!!:
À ne pas confondre avec Frankenstein 90, la brillante et très française relecture moderne du mythe avec Eddy Mitchell et Jean Rochefort). Le titre original, The Vindicator. Jadis, je voulais absolument retrouver le film. Tâche virtuellement impossible; même pour le plus féru des collectionneurs, le sacro-saint VHS est une denrée rare.

1-The Vindicator est réalisé par Jean-Claude Lord. Production de John Dunning et André Link, les fondateurs de Cinépix. Ce qui en fait un film de commande, soit, mais également un film québécois.

2-Le thème est terriblement similaire à Robocop avec une touche de Swamp Thing (l’original de Berni Wrightson et Len Wein, le film de Wes Craven par extension). Les références aux comic-books y sont d’ailleurs nombreuses; the Vindicator fut d’ailleurs le nom initial de notre Captain America national et le chef d’Alpha Flight avant The Gardian. Ceci dit, il est sorti un an avant Robocop. Visionnaire! Il est impardonnable que nous en ayons point parlé dans notre entrée de blogue sur Le retour de Deathlok-se faire tirer le Verhoeven du nez.
3-Pour tout son « génie » et les souvenirs qu’il m’a procuré, The Vindicator est à évoquer pour une incontournable scène, que je vous résume ici:
Transformé depuis peu de temps en machine à tuer par une sinistre organisation gouvernementale, notre héros déambule dans les rues, confus et titubant. C’est une nuit humide et triste… Il se regarde dans une vitrine de magasin de jouets. Ornée de masques de monstres, il ne distingue pas bien le reflet de son visage se confondant aux nombreux masques. Il est perplexe… Les masques et les jouets sont-ils en train de le narguer (comme Darkman et son putain d’éléphant rose)? Il prend soudainement conscience de ce qu’il est devenu. C’est terrible!

Emporté par la colère, notre héros casse la vitrine du magasin avec un panneau! Oh non!

On voit ensuite l’ampleur des dommages. OH NON! Câlisse! Frankenstein 88 vient juste de péter la vitrine d’une institution culturelle montréalaise, le Bric-à-brac, magasin de jouets/tabagie trônant fièrement, encore à ce jour, sur la rue Ontario. Noble comptoir faisant le bonheur des béesses depuis des lustres, échoppe incontournable pour les nombreux pèlerins des ventes trottoirs, on y trouvait jadis des jeux de pichenottes et de poches, des costumes cheaps et des imitations de figurines taiwanaises (j’ai encore une figurine de Robocop achetée là-bas en 89…quelle coïncidence poétique!), du tabac et des tubes de cigarettes de même que ces petits bidules noirs servant à remplir soi-même les tubes qui faisant des assourdissants Ka-klacs. Des heures et des heures de Ka-klacs où vos parents se confectionnaient des bonnes rouleuses à peu de frais. Flashback violent genre P’tit Québec/on revient chez nous/grand maman y’é bon ton fromage. Frankenstein 88 a pété la vitrine de mon bric-à-brac…

Osti. Pas besoin d’être Freud ou d’aller se faire tirer aux cartes chez matante Rolande.
La rue Ontario=la ligne de ma vie.
Le Bric-à-brac=mes souvenirs.

Frankenstein 88=mon inconscient
Frankenstein 88 en train de péter la vitrine du bric-à-brac=la révolte de mon inconscient contre un passé refoulé et monstrueux de jeune béesse qui revient me hanter inlassablement, avec dégoût et nostalgie.

*Soupirs*

Mais je digresse derechef…
On assistera aussi au grand retour de Richard Stanley dans une discussion sur l’occultisme au cinéma avec Robin Hardy. Ce dernier vient présenter par ailleurs la suite très attendue de son opus THE  WICKER MAN, The Wicker tree!  

Les programmateurs ce sont fait un devoir de nous présenter leurs suggestions personnelle, avec le brio qu’on leur connait.

-Les amateurs de film d’horreur transgressif et expérimental devront absolument voir THE THEATRE BIZARRE, anthologie de six films réalisés par autant de créateurs (dont Karim Hussein et Richard Stanley). La bande annonce à elle seule est un des meilleurs films d’horreur de l’année.

-La comédie danoise CLOWN qui promet d’être décapante et inconfortable à souhait.

-Le thriller coréen THE UNJUST qui arrive avec une solide réputation et une brochette d’acteur avec la gueule de l’emploi!

-Les habituels (et bienvenus) films de Takashi Miike et Sion Sono

-Un documentaire sur le phénomène social des real life super-heros (parce qu’il le fallait…je veux dire un documentaire sur le sujet, pas des gars qui se déguisent en collants t’sais)


-Le director’s cut du Captain America d’Albert Pyun (au delà de 30 minutes de plus pour ce magnifique navet confit)!!!!!!

-Une mystérieux film en  3-D qui sera dévoilé prochainement!!!!

-Un Génie, deux associés une cloche en présence de Robert Charlebois (crisse! c’est saugrenu à lire cette phrase là!)

Il serait rébarbatif de tout énumérer ce que nous avons entendu et vu à la conférence de presse. Vous aurez bien assez de lecture devant vous d’ici les prochains jours

En outre, LES MYSTÉRIEUX ÉTONNANTS se feront un devoir de couvrir pour vous un maximum d’événements du festival. 

Cela dit, pour nous, trois incontournables se dressent déjà à l’horizon: 

-Le PINKU EiGA (film de fesse nippon folichon) Underwater Love, montrant les frasques sexuelles et amoureuses d’un Kappa (un homme tortue) et d’une jolie dame, sur fond de mièvreries bien senties et de frotte- foufoune bien graphique.
Avec une photo de Christopher Doyle et une trame sonore de Stéréo total! Quand ces informations furent diffusés à la conférence, un individu a échappé un « WHAT!??! » de circonstance.

MUSTANG de Marcel Lefebvre, un western hybride et introuvable de chez nous avec les chanteurs de country Willie Lamothe de Bobby Hachey. Une vrai bénédiction.


ART/CRIME, le film par lequel toutes les polémiques devraient irrémédiablement suivre. Ce documentaire sur le controversé Cas Rémy Couture va faire couler de l’encre et du sang  en terre Québec, c’est garanti.


En bref, bon festival et un énorme merci au gens de Fantasia pour les inévitables frissons à venir.!!

 

FRANCIS OUELLETTE

Les frères nains de The Hobbit sont dévoilés

New Line Cinema et MGM ont dévoilé aujourd’hui la première image des frères nains tels qui apparaitront dans l’adaptation cinématographique du roman de J.R.R. Tolkien, The Hobbit.

De gauche à droite : Nori (Jed Brophy), Ori (Adam Brown) et Dori (Mark Hadlow).

Réalisé par Peter Jackson, la première partie du film, Hobbit : An Unexpected Journey, sera diffusée en salle à compter du 14 décembre 2012. La deuxième partie quant à elle, The Hobbit : There and Back Again, sera projetée un an plus tard à partir du 13 décembre 2013.

– Benoit Mercier