Prelude to Blackest Night
Cet événement m’excite beaucoup. Lorsque j’en parle je postillone et sur les coins de mes lèvres de l’écumes s’accumule. La pub commence, pouvant ainsi renforcer ma hausse d’hormones. Voici donc les numéros des différentes séries à vous procurer, faisant partie du Prelude to Blackest Night:
Free Comic Book Day:
- DC a annoncé Blackest Night #0 comme étant un issue participante à l’événement Free Comic Book Day
Green Lantern de Geoff Johns, arche d’histoire: Agent Orange
- Les issues 39 à 42, inclusivement, parleront des Orange Lantern. Groupe puisant leur pouvoir de l’avarice.
Green Lantern Corps de Peter J. Tomasi, arche d’histoire: Emerald Eclipse
- Les issues 33 à 38, inclusivement, mettant en vedette Sodam Yat, Sinestro, Mongul et une histoire d’amour, défendue par la nouvelle troisième lois des Gardians, entre Kyle Rayner et (lisez-le batisse!). Une série à ne pas manquer sous aucun prétexte.
La série sera cancellée au numéro 18, qui paraîtraen août de cette année. Suite à cette nouvelle, une rage intérieur entremelée d’une peine déchirante me donne le goût de tout détruite ce qui est à l’extrimité de mes mains. La colère de règlant rien, je vais donc savourer ce qui me reste de Young Liars. L’auteur n’est toutefois pas surpris, comprenant que sa série n’est pas accessible, il a eut bien du plaisir à l’écrire et dessinée. Merci à David Lapham pour son audace et son talent. N’étant pas équilibré comme M. Lapham, j’aimerais avoir les dirigeants de DC/Vertigo assis et attachés sur une chaise sans fond devant moi et jouer à James Bond qui questionne. C’est rassurant de voir que DC/Wildstorm sorte des séries comme Gears of War, World of Warcraft, Starcraft, Resistance… alors que DC/Vertigo arrête des séries comme Young Liars. Ah pis c’est ça…

Cette série a connu plusieurs auteurs depuis son reboot: Geoff Johns, Dave Gibbons et Peter Tomasi. Les changements n’ont cependant eut aucun effet négatif sur la qualité de cette série. Il s’agit du Green Lantern Corps qui est reformé par une multitude de personnages intéressants. L’esprit d’équipe, l’amitié et la persévérance fait partie des thèmes explorés à travers les différentes arches d’histoires. Pendant que Green Lantern met l’accent sur Hal Jordan, GL Corps suit plus particulièrement: Kyle Rayner, Guy Gardner, Kilowog, Bzzd, Mogo, Soranik Natu et Sodam Yat qui est le nouvel Ion. La série est une vraie oeuvre épic qui est, selon mes goûts, une des meilleures séries chez DC. La richesse qui se trouve à travers les GL Corps est l’exploration des différents personnages. Je n’aime pas beaucoup faire des comparaisons dans mes critiques, mais la façon dont les auteurs nous font vivre les personnages me fait penser à comment Lost nous présentait ses personnages lors des premières saisons. Malgré que les aventures du Corps soient grandioses, elles ne dépassent pas en importance ce que les personnages vivent entre eux et sont: Héroïque et valeureux. Je ne serais pas surpris que Sodam Yat ait sa propre série dans le futur, Tomasi réussit a en faire quelqu’un de grand par l’acharnement du personnage à rester fidèle à lui-même face aux épreuves personnelles auxquelles il a fait face. Les événements comme Sinestro Corps War et Blackest Night ne peuvent être complète sans la présence de Tomasi et sa plume sur GL Corps, dans la préparation ou le déroulement. Le fait que cette série ne soit pas dans le top des ventes me consterne, ce n’est pas parce que ça se vend beaucoup que c’est bon et c’est pas parce que ça ne se vend pas beaucoup que ce n’est ordinaire…
C’est à mettre dans votre panier d’épicerie. Le mélange parfait entre le comic de super-héros et la liberté d’un label indépendant. Normalement, lorsqu’on a affaire à un issue numéro 1, nous avons une introduction sur les personnages, la situation. Bref, on met la table sans nécessairement mettre le ton à la série. Ce n’est pas vraiment le cas, il s’agit d’une grosse claque sur la gueule: Une vraie mornifle. L’introduction des personnages est fait de façon, par le biais d’un flash back raconté, à nous laisser croire que l’auteur nous laisses une pause suite à l’introduction commando style « get the fuckin’ fuck down », mais il en remet davantage! La conclusion de cette première issue respecte parfaitement avec le style donné. Mark Waid se donne une liberté très sombre avec son personnage, pourquoi le plus fort devrait-il être gentil. Si vous mettez la main sur la première issue, vous ne serrez pas capable de suivre en recueil.
