Star Trek: Deep Space Nine – Les raisons de son impopularité

La télésérie de science-fiction Star Trek: Deep Space Nine a toujours été considérée comme le mouton noir de la franchise. Plus sombre que ses séries sœurs, elle fut diffusée à l’époque, au début des années 90, à cheval entre la fin de Star Trek: The Next Generation et le début de Star Trek: Voyager. Une position difficile qui selon certains Trekkies n’a pas permis à DS9 de se démarquer du lot et lui a valu ses piètres cotes d’écoute.

En entrevue avec Trek Core, Nana Visitor, l’actrice qui a interprété le personnage de Kyra Nerys sur la série de science-fiction, a adressé cette théorie.

« Je ne sais pas. Je sais que ce n’était pas ce que la communauté d’amateurs de Star Trek dans son ensemble voulait voir. Elle était sombre [la série] et je pense que c’était notre problème. En plus d’être l’enfant du milieu, je pense que c’était simplement une autre interprétation de l’univers de Star Trek très différente. »

Lorsqu’on demanda à Visitor si elle a l’impression que Deep Space Nine avait été injustement catégorisé, alors que d’autres téléséries tout aussi sombres, telles que Battlestar Galactica, ont connu du succès critique par la suite, l’interprète a déclaré qu’elle croit fermement que DS9 était un précurseur pour le genre et que les épisodes aujourd’hui tiennent encore bien la route dix ans plus tard.

– Benoit Mercier

1 pensée sur “Star Trek: Deep Space Nine – Les raisons de son impopularité”

  1. C’est quoi la ‘tag line’ de Star Trek?
    « To boldly go where no man(one) has gone before. »

    Tu fais une série sur une station spaciale, incapable d’aller là où personne n’est jamais allé. C’était pas très invitant. Puis arrive la saison 4, la naissance du Defiant et la série change bout pour bout.

    Conclusion: Si tu dois voir la série DS9, regardes les 3 dernières saisons, la période chauve de Cisco. Ce n’était pas ‘dull’ avant ça, seulement une autre vision de cet aspect qui veut qu’on n’est pas forcément à sortir de la maison pour être dépayser. Sauf qu’en anglais, le mot dépayser n’existe pas 😉

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