Fantasia 2015 – Deathgasm

deathgasm

Cette comédie d’horreur néo-zélandaise nous faire suivre un jeune fan de Heavy Metal. Suite à la mort de sa mère monoparentale Brodie est envoyé, tel un Harry Potter à manteau de cuir, vivre avec la famille de son oncle très religieux. Pour ajouter à l’horreur de la situation, son cousin est un sportif style joueur de football amateur d’intimidation qui se met immédiatement à l’oeuvre pour ruiner la vie déjà misérable de Brodie. Rien n’est franchement mieux à l’école; les gens sont ennuyants, les belles filles n’en ont que pour pour les jocks et Brodie se retrouve enrôlé dans une partie de Donjons & Dragons avec deux tronches, malgré lui. Ce n’est que lorsqu’il fera la rencontre de Zakk, un metalhead endurci. Les deux deviennent amis instantanément et décident de former un groupe de métal qu’ils nomment Deathgasm. Le métal, c’est bien connu, a une réputation de « musique du diable », capable de posséder ceux qui la jouent et l’écoutent. C’est naturellement de la foutaise… mais si c’était vrai?

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Fantasia 2015 – Ludo

Ludo

Une soirée festive tourne au cauchemar dans « Ludo » du duo de réalisateurs indiens Nikon et Q. Ria (Subholina Sen) et un groupe d’amis font le tour de la ville pour faire la fête. Loin des restrictions parentales, les jeunes adolescents vont danser, boivent de l’alcool et cherchent un endroit pour la nuit où ils pourraient assouvir leurs besoins charnels.

Leur quête les entrainera, après les heures d’ouverture, dans un méga centre d’achats complètement désert. L’emplacement leur semble idéal jusqu’à ce qu’ils fassent la rencontre de deux êtres désincarnés qui y déambulent seuls sans but apparent. Pris au piège avec ces personnages étranges, les adolescents n’ont pas d’autre choix qu’attendre le matin pour pouvoir sortir. Mais la soirée prend un tour pour l’étrange lorsqu’ils sont invités à jouer une partie de Ludo, un jeu de chances et de hasards qui semblent avoir un effet surnaturel sur leur environnement et sur leur état de conscience. Sans le savoir, Ria et ses amis sont désormais les souffre-douleurs du jeu diabolique.

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Fantasia 2015 – Slumlord

Slumlord

Présenté cette année en première mondiale durant le festival Fantasia, Slumlord de Victor Zarcoff est un film d’horreur qui oscille entre le drame conjugal et un long métrage de suspense. Troublant et effrayant durant ses séquences les plus efficaces, le récit, signé également par Zarcoff, parvient étrangement à faire rire. Une caractéristique qui peut être autant le fruit de sa mise en scène original que d’une certaine maladresse de la part de ses artisans.

Ryan (PJ McCabe) et son épouse Claire (Brianne Moncrief) emménagent dans une nouvelle maison qu’ils louent à Gerald (Neville Archambault), un propriétaire au physique répugnant et peu bavard. L’homme, que l’on devine rapidement être en proie de pulsions sadiques et perverses, a truffé leur nouveau logis de dizaines de caméras afin de les observer. Or, le jeune couple est en crise alors qu’ils sont sur le point de devenir de nouveaux parents. Ryan est infidèle et entretient une liaison avec une collègue de travail, ce qui ne fait que rajouter de la tension dans une dynamique affective déjà malsaine qui s’est installée entre eux. Point focal et unique de l’histoire, leur maison deviendra le théâtre des sinistres intentions de Gerald qui, lors des fréquentes absences du couple, pénètre chez eux afin de travailler dans la cave de la demeure. Ses intentions demeurent nébuleuses, mais les rares indices qui sont offerts au public témoignent d’un esprit dérangé et du sort qu’il réserve à ses nouveaux locataires.

Slumlord aurait pu facilement tomber dans les codes, et aussi les faiblesses, du « Found footage », mais les évite sans difficulté. Les caméras de surveillances qui tapissent la demeure auraient pu être utilisées comme excuse scénaristique simple afin d’enchainer les scènes de nudités, les déboires amoureux et autres séquences gratuites qui auraient servi autant à assouvir les pulsions du propriétaire que celle d’une audience en manque de téléréalité. Il n’est rien de tel. Au contraire, ce qui aurait pu n’être qu’un « gadget » d’un réalisateur en quête d’une nouvelle approche est mis de côté au profit d’une histoire qui capture l’intérêt de son public.

Si le film est avant tout présenté comme un récit d’épouvante, la réalité en est toute autre chose. Il est vrai que l’interprétation de Neville Archambault est effrayante et ses rares écarts de violence sont terrifiants. Son physique horrible, amalgame d’un vieux lutteur et celui de Quasimodo, est assez pour glacer le sang. Néanmoins, Gerald frôle la caricature à un tel point qu’il engendre davantage les rires que des frissons. Avec son air bêta, ce personnage, qui par ailleurs est aussi peu loquace, est étonnamment attachant, et nous apparait aussi sympathique que désaxé. Ce n’est que lorsqu’il commet l’irréparable. Que toute sa dimension de sociopathe est montrée au grand jour.

On est davantage intrigué par la liaison de Ryan et de ses répercussions sur son couple que l’on est par le vieil homme qui guette dans l’ombre. Le jeune époux réussit, de peine et misère, à cacher son infidélité. Ses déboires prennent l’avant-plan à l’horreur et c’est avec un ton amusé qu’on le voit se démener vers l’inévitable implosion de son couple.

Malgré son approche hors norme et son rythme lent, on ne peut faire autre chose qu’être engagé dans Slumlord. Ses personnages, quoique plus grands que nature, sont attachants et on en vient à se soucier de leur sort. Simple, efficace, la mise en scène de Victor Zarcoff a tout ce dont le cinéma indépendant incarne. Soit une approche peu orthodoxe qui souffre parfois d’un certain manque de ressources financières, mais qui se reprend sur la forme afin d’offrir un film qui n’est pas comme les autres. De l’horreur. De l’humour ? Mais un film unique.

Slumlord sera projeté le 19 juillet à 14 h 45 à Salle J.A. De Sève de l’université Concordia.

– Benoit Mercier

Fantasia 2015 – Bridgend

1211556_Bridgend (1)Le film danois Bridgend nous plonge, nous enferme dans la noirceur d’un groupe de jeunes désœuvrés qui errent en forêt, se baignent nus, allument des bûchers, gueulent le nom de leurs confrères disparus, se saoulent… d’une manière quasi rituelle. Leur seule routine : un nouveau suicide d’un de leurs amis. C’est en cette horreur du mal de vivre, cet univers claustrophobe que Sara se retrouve aspirée, lorsqu’elle emménage avec son père policier dans la petite ville de Bridgend, au Pays de Galle.

Le documentariste danois Jeppe Rønde fait ici une première incursion dans la fiction en restant tout de même près de la réalité, d’une réalité dont on aimerait normalement détourner le regard. C’est qu’entre 2007 et 2012, 79 suicides (presque tous par pendaison et sans lettre d’adieu) ont été rapportés dans le comté de Bridgend; la plupart des victimes étaient des adolescents âgés de 13 à 17 ans. Pendant six années, M. Rønde a visité les jeunes de la région pour chercher à comprendre. De ses recherches, il en a tiré une trame minimaliste mélangeant le cinéma de Larry Clark et le Dogme95 (malgré l’utilisation de musique).

On apprécie cette recherche d’authenticité (notamment l’utilisation de jeunes acteurs non professionnels de la région), quoique ce respect semble avoir emprisonné quelque peu le récit. Bien sûr, on est ici dans un film « inspiré de », donc dans une certaine spéculation, mais on aurait aimé que le tout dégénère dans un véritable carnage que la ville vire véritablement à feu et à sang comme le récit nous laisse présager. (Quoiqu’il nous y mène quelque peu dans une finale maîtrisée aux images fortes. Saluons en passant, la direction photo simple, mais terriblement efficace.)

Le développement des personnages laisse à désirer; on ne nous permet pas de comprendre leur psyché. Par cela, on n’arrive pas à s’attacher à Sara. Pour ce qui est des acteurs, Hannah Murray (Skins, Game of Thrones) est correcte dans son interprétation de Sara, mais Josh O’Connor, celui qui joue son copain Jamie, le fils du curé, vole carrément la vedette. Disons qu’il est un Eddie Redmayne en plus badass et moins roux.

Bridgend est un gracieux film coup-de-poing. Mais, on aurait aimé un peu moins de grâce et plus de force de frappe, en ressortir avec notre bouille de cinéphile complètement amochée, ensanglantée. Enfin, il s’agit d’un de ces films dont on n’apprécie pas particulièrement lors de l’écoute, mais qui reste avec nous, nous hante dans les jours suivants.

Quoique pas parfait, Bridgend est un film terrifiant, tragique qui vaut la peine d’être vu.

– ‘xim Sauriol

Fantasia 2015 – Catch Me Daddy

catch me daddy

Le festival Fantasia nous offre très souvent la chance de découvrir d’excellents films avant la majorité du grand public. Parfois, on n’a pas droit à un grand film mais on ressort de la salle avec tout de même l’impression d’avoir déniché quelque chose de spécial.

Catch Me Daddy est l’histoire de Laila, une jeune adolescente britannique d’origine pakistanaise qui habite avec son copain Aaron. Le couple n’a pas beaucoup d’argent mais énormément d’amour l’un pour l’autre. Les premières interactions auxquelles on assiste cachent pourtant quelque chose qui hante leur quotidien, une épée de damoclès pas très loin au-dessus de leurs têtes: Laila est une fugitive. Elle a fui le domicile familial et l’autorité envahissante, voire dangeureuse de son père au grand désarroi de celui-ci. Lorsqu’il engage le grand frère de Laila et sa bande d’amis en plus de deux chasseurs de tête de bas niveau, le bonheur et la sécurité des jeunes amoureux seront fracassés.

Catch Me Daddy est le premier film du réalisateur Daniel Wolfe, qui a fait son nom dans les vidéoclips et il est facile de voir cette influence dans son oeuvre. Une caméra très active, un montage légèrement hyperactif, des choix de plans non-conventionels mais surtout une énorme présence de pièces musicales qui semblent tout droit sorties de la librairie du cinéaste. Les images jurent parfois avec les choix musicaux et ça peut devenir irritant pour certains mais la recette a fonctionné avec moi, d’autant plus qu’elle me rappelait le génie musical de la première saison de True Detective. Le premier acte du film est lent à outrance mais sans être mauvais; Wolfe excelle dans les moments intimes et sa dépiction de Laila est ennivrante. Il faut dire que l’actrice Sameena Jabeen Ahmed est éblouissante dans le rôle. La tension attend son paroxysme lorsque les amoureux sont découverts, on s’attend alors à une explosion des émotions, à de l’action ou à tout le moins à une résolution, soit-elle bonne au mauvaise. On n’aura malheureusement droit à rien de tout ça. Wolfe s’attaque à plusieurs énormes et très complexes sujets pour son premier long-métrage; la misère, la pauvreté, la violence, le racisme, le crime d’honneur au sein de la communauté musulmane, la toxicomanie… Les portraits qu’il en tire sont authentiques mais ne nous emmène nul part qui n’aurait pas été exploré auparavant. On devine une certaine maladresse de débutant dans le montage; certaines scènes de nuit sont complètement inutiles parce que beaucoup trop sombres et le film souffre d’être franchement trop long. Wolfe n’avait-il pas le coeur de faire plus de sacrifices lors de la post-production?

J’ai découvert un réalisateur de talent avec ce film, qui dirige ses acteurs avec main de maître et qui de toute évidence a envie d’échauffer les esprits avec de nouvelles idéee. Je garderai certainement l’oeil ouvert pour ses prochaines oeuvres et j’espère qu’il apprendra des faiblesses de Catch Me Daddy.

Quand R2-D2 et C-3PO s’en prenaient à des lutteurs japonais

https://youtu.be/n5sCTOnwx8g

À l’été 1979, lors d’un match de lutte fort endiablé de la All Japan Pro Wrestling, R2-D2 et C-3PO (ou plutôt deux mecs aux costumes fort douteux) affrontèrent Masanobu Fuchi et la légende de la lutte japonaise Atsushi Onita.

Qui l’emporta? Je vous laisse le découvrir!

– ‘xim Sauriol

Source

Fantasia 2015 – Miss Hokusai

Miss Hokusai

Pour le commun des mortels, les gens artistiques semblent parfois appartenir à une race distincte, qui habite un monde complètement différent du nôtre. Un monde abstrait, plus fantastique, voire magique.  C’est dans cet univers que nous plonge tout en douceur le magnifique film d’animation Miss Hokusai.

Nous sommes en 1814, alors que Tokyo se nomme toujours Edo. O-Ei vit avec son père, un homme excentrique dans la cinquantaine et un peintre extrêmement doué qui a déjà une réputation qui entraîne le respect et plusieurs contrats. Katsushika Hokusai (alors appelé Tetsuzo) ne fait ni le ménage, ni la cuisine, sa vie se résumant entièrement à peindre et sortir boire avec son apprenti un peu empoté. C’est d’ailleurs O-Ei qui doit souvent terminer (ou créer!) les œuvres de son père pour qu’elles soient livrées à temps et ce, sans pouvoir signer son travail ni récolter les honneurs que son talent mérite. Un talent qui rend Tetsuzo un peu nerveux… Car O-Ei a également hérité du caractère fort et de l’entêtement de son père. Entre les sautes d’humeurs du maître, sa petite sœur malade et quelques prétendants maladroits, la jeune femme découvre les beautés que ce monde a à offrir; le calme de la neige, la fureur d’un incendie, les secrets d’un dessin érotique réussi et la magie du quotidien.

Miss Hokusai, à l’image des dessins du maître et de sa fille, est un pur délice pour les yeux et le cœur. Rarement a-t-on vu une lumière si parfaite dans un film d’animation, en plus des couleurs toutes en nuances qui nous transportent directement au Japon de l’ère Edo. Le réalisateur Keiichi Hara était présent lors de la représentation d’ouverture et a précisé que le film était adapté du manga Srusuberi, qui est lui-même une interprétation plus qu’une biographie directe de la vie de cette légendaire famille d’artistes. Si le nom Hokusai ne vous dit rien, pensez à la fresque japonaise très populaire qui met en image les vagues de la mer; ce tableau, c’est La Grande Vague de Kanagawa qu’il a peint en 1831. Le scénario est lent et contemplatif mais gonflé d’émotions et jamais ennuyant. Il nous offre de passer un moment dans la vie de ces personnages historiques incomparables mais foncièrement humains et on apprécie l’expérience tout en sortant inspiré. Miss Hokusai est ce genre de film qu’on regarde avec un sourire constant au visage et parfois quelques larmes à l’œil. Une excellente fresque sur les grands sujets universels de la vie, la mort, l’amour et l’art.

Ne manquez pas la deuxième représentation de Miss Hokusai le samedi 25 juillet à midi, pour plus d’informations vous pouvez visiter le site du Festival Fantasia.

SDCC – Whedon annonce « Twist » pour Dark Horse Comics

Twist Joss Whedon 2

À la conférence de Dark Horse Comics au Comic Con de San Diego 2015, Joss Whedon a annoncé son retour dans le monde du comic book avec la mini-série Twist, qui met en scène une superhéroïne qu’il décrit comme « une Batman femme et victorienne ».

« C’est un thriller victorien à propos d’une frêle femme de chambre qui est exposée à une horreur sombre — mais au lieu de mourir, elle revient, avec du savoir, du pouvoir, et une rage qu’elle ne peut renier ni contrôler. » – Joss Whedon

Cette couverture est par Julian Totino Tedesco et Nate Piekos

Twist Joss Whedon

– Mario J. Ramos via CBR

Heroes Reborn – Première bande-annonce

https://www.youtube.com/watch?v=4FLHB2zB_cA

Heroes Reborn est une mini-série faisant suite à la série télévisée Heroes (2006-2010), prévue d’être diffusée en simultané à partir du 24 septembre 2015 sur le réseau NBC.

[wikipedia] Les premières annonces parlent de « reconnecter avec les éléments d’origine de la première saison » au cours de laquelle des personnes sans histoire se découvraient des super-pouvoirs. La diffusion sera précédée d’une mini web-série qui présentera les nouveaux personnages au cœur de Heroes Reborn.

– David

Batman v Superman: Dawn of Justice – La bande-annonce du Comic-Con

Batman v Superman: Dawn of Justice est un film de super-héros américain réalisé par Zack Snyder, dont la sortie est prévue en 2016.

Distribué par Warner Bros., produit par Christopher Nolan et écrit par David S. Goyer, c’est une suite de Man of Steel. Basé sur les personnages de DC Comics Batman et Superman, le film est le troisième redémarrage de la franchise cinématographique Batman et le second film de l’univers cinématographique DC. Le film mettra en scène Henry Cavill, Amy Adams, Diane Lane et Laurence Fishburne pour reprendre leurs rôles du premier film, avec Ben Affleck et Gal Gadot qui rejoignent le casting pour interpréter respectivement Batman et Wonder Woman.

– David

Ash vs Evil Dead – Première bande-annonce officielle

La suite de la trilogie culte du cinéma réunira à nouveau les cinéastes d’origine, le réalisateur Sam Raimi avec Rob Tapert et Bruce Campbell en tant que producteurs exécutifs. Campbell reprendra également le rôle de Ash. Voici quelques précisions sur le scénario (via deadline.com):

Campbell will be reprising his role as Ash, the stock boy, aging lothario and chainsaw-handed monster hunter who has spent the last 30 years avoiding responsibility, maturity and the terrors of the Evil Dead. When a Deadite plague threatens to destroy all of mankind, Ash is finally forced to face his demons –personal and literal. Destiny, it turns out, has no plans to release the unlikely hero from its “Evil” grip.

– David

Star Wars: The Force Awakens – Le « behind the scene » du comic-con de San Diego

Voici la vidéo de Star Wars:The Force Awakens que les fans ont pu voir au Comic-con de San Diego. Il a été présenté par les créateurs du film et les acteurs Daisy Ridley, John Boyega, Adam Driver, Oscar Isaac, Domhnall Gleeson, Gwendoline Christie, Mark Hamill, Carrie Fisher et Harrison Ford à la grande surprise des fans.

Star Wars: The Force Awakens est un film de science-fiction américain réalisé par J. J. Abrams, dont la sortie est prévue le 19 décembre 2015. C’est le septième opus de la saga Star Wars et fera suite à l’épisode VI : Le Retour du Jedi, trente-deux ans après la sortie de celui-ci.

Le film sera la suite de l’épisode VI, Le Retour du Jedi, mais sans plus de précision. « L’histoire devrait se concentrer sur une nouvelle génération de héros ». Mark Hamill, Carrie Fisher et Harrison Ford y apparaitront dans leurs anciens rôles de Luke Skywalker, Leia Organa et Han Solo plus vieux d’une trentaine d’années.

– David

Doctor Who – Bande-annonce de la saison 9

Voici la bande-annonce pour la 9e saison de la série actuelle de Doctor Who. Peter Capaldi est de retour dans le rôle principal, toujours accompagné de Jenna Coleman. Cette saison introduit Maisie Williams, connue pour le rôle de Arya Stark dans Game of Thrones.

La saison sera diffusée à partir de 19 septembre 2015 sur BBC America.

– Mario J. Ramos

Daredevil saison 2 – Élodie Yung incarnera Elektra

Elodie_Yung

Marvel a annoncé aujourd’hui que l’actrice française Élodie Yung (G.I. Joe: Retaliation) a été engagée afin d’incarner Elektra dans la deuxième saison de Daredevil qui sera disponible en 2016 sur Netflix.

Créé dans les années 80 par le légendaire Frank Miller, le personnage est bien connu des amateurs de bandes dessinées. Mercenaire et assassin, elle a eu une liaison amoureuse turbulente avec Matt Murdock. Elle est également experte en arts martiaux et maitrise les saïs.

Selon le communiqué officiel, Elektra est décrite comme une femme mystérieuse et dangereuse qui surgit tout droit du passé de Murdock et dont la façon d’être exotique « est peut-être plus que ce avec quoi il est mesure de composer ».

Yung rejoint une distribution déjà composée de Charlie Cox (Daredevil), Deborah Ann Woll (Karen Page), Elden Henson (Foggy Nelson) Rosario Dawson (Claire Temple) et Jon Bernthal, qui incarnera le Punisher au cours de la deuxième saison.

– Benoit Mercier