The Hobbit: The Battle of the Five Armies – Premier aperçu (teaser)


Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées ( The Hobbit: The Battle of the Five Armies ) est le troisième film de la trilogie Le Hobbit de Peter Jackson. Cette série est adaptée du roman Le Hobbit de J. R. R. Tolkien, récit des aventures du hobbit Bilbon Sacquet qui accompagne treize nains et le magicien Gandalf dans leur expédition vers Erebor, ancien royaume nain capturé par le dragon Smaug. Ce troisième épisode était initialement appelé Le Hobbit : Histoire d’un aller et retour, comme le roman dont il s’inspire.

Sa sortie est prévue pour le 10 décembre 2014. Il conclura la trilogie ouverte par Le Hobbit : Un voyage inattendu, sorti dans les salles de cinéma le 12 décembre 2012, et continuée par Le Hobbit : La Désolation de Smaug, sorti en 2013.

Le Hobbit : la Bataille des Cinq Armées apporte une fin épique aux aventures de Bilbo Sacquet, de Thorin Écu-de-Chêne et des Nains. Alors que les compagnons reprennent leur patrie des griffes du dragon Smaug, ils réveillent soudainement sa force destructrice : furieux, Smaug déchaîne sa rage ardente sur les hommes, les femmes et les enfants sans défense de Bourg-du-Lac.
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Sin City: A Dame to Kill For – La bande-annonce du Comic-Con

Sin City : J’ai tué pour elle (Sin City: A Dame to Kill For) est un film policier américain de Robert Rodriguez qui sortira le 22 août 2014. Il s’agit d’une suite à Sin City, tirée notamment du tome J’ai tué pour elle ainsi que d’autres histoires.

À Basin City, Dwight McCarthy veut se venger de celle qui l’a trahi, Ava Lord, alors que Nancy Callahan essaie de se remettre de la mort de John Hartigan.

– David

RETRO – Un court métrage inspiré du Angry Video Game Nerd

Hier soir au Festival Fantasia, se déroulait la première internationale de Angry Video Game Nerd: the movie, basé sur la populaire série web du même nom. En première partie, un court métrage hommage a été présenté.

Réalisé par Jules Saulnier, RETROest une amusante collaboration entre Kino et Fantasia qui met en scène Jules Saulnier lui-même, Alexandra Cyr et le YouTuber québécois Guiz de Pessemier.

Mario J. Ramos

Deadpool – Une fuite sur le web dévoile des tests pour le film

Une fuite sur le web dévoile présentement les résultats d’un test sur le genre et l’esthétique visuelle d’un film de Deadpool.

En effet, depuis plusieurs années 20th Century Fox prévoit sortir un film sur Deadpool. Ils ont un scénario (qui est censé être fantastique), un acteur principal (Ryan Reynolds) et un réalisateur (le nouveau venu Tim Miller).

Malheureusement, le projet (R-rated) était un trop grand risque pour le studio, de sorte que le scénario a pris poussière sur une étagère. Au Comic-Con l’an dernier, l’auteur de bandes dessinées Rob Liefeld avait parlé de certaines séquences test filmées en 2012. Un an exactement plus tard, les images sont dévoilées sur le web par une source inconnue.

Voici la vidéo: (voir ce lien si la vidéo est retirée)

-David

Fantasia 2014 – At the Devil’s Door

 The Pact, le premier long métrage de Nicholas McCarthy, a été présenté au Festival Fantasia en 2012 et sa bande-annonce avait grandement piqué mon intérêt. Malheureusement, le film lui-même s’était avéré une déception, malgré de visibles bonnes intentions se culminant en une finale complètement invraisemblable. Lorsque j’ai appris que McCarthy était de retour cette année avec At the Devil’s Door, j’ai décidé de lui donner une seconde chance. Après tout, The Pact n’avait peut-être souffert que d’un manque d’expérience.

At the Devil’s Door raconte l’histoire de Leigh, une jeune agente immobilière qui se voit confier la tâche de vendre une maison avec un passé plutôt sombre. Lors d’une visite, elle y croise une jeune fille portant un imperméable rouge, l’air complètement misérable. Leigh voudra lui venir en aide mais, ce faisant, ouvre la porte à une force inquiétante qui s’immiscera dans sa vie et celle de sa soeur, Vera.

Voilà, du moins, le synopsis pour une partie du film. At the Devil’s Door se promène entre les époques et les protagonistes à grande vitesse et sans finesse dans ses transitions. Le tout est monté de façon incroyablement maladroite et empêche ses personnages de se développer proprement. L’ambiance est toutefois réussie jusqu’au troisième acte, où le scénario fait de tels bons qu’on ne peut s’empêcher de rire d’incrédulité.

J’aurais du me fier à mon instinct. At the Devil’s Door n’est pas une amélioration du début décent mais imparfait qu’était The Pact. C’est même un pas vers l’arrière, confus et ponctué de moments de tensions mal exploités.  Une porte qui n’aurait jamais du être ouverte.

Jessy Beaulieu

Mad Max: Fury Road – Première bande-annonce (Comic Con Footage)

Extrait officiel du Comic Con pour Mad Max: Fury Road qui sortira en salle le 15 mai 2015.

Oscar-winning filmmaker George Miller’s “Mad Max: Fury Road” revisits his own post-apocalyptic trilogy featuring the anti-hero known as Mad Max. Tom Hardy stars in the role of Max Rockatansky, alongside Charlize Theron, Nicholas Hoult, Zoe Kravitz, Riley Keough, Hugh Keays-Byrne and Rosie Huntington-Whiteley.

-David

The Simpsons / Family Guy – Un aperçu de 5 minutes du « crossover »

https://www.youtube.com/watch?v=-7YzXMzZ1bU

Simpsons Guy est le premier de 2 « crossovers » d’une heure entre les 2 séries poopulaires de Fox.

In the special hour-long episode, The Griffins become sidetracked and find themselves in Springfield, where they make fast friends with The Simpsons based on their obvious similarities. But said similarities threaten to tear Peter and Homer apart when an argument over accusations that Peter’s beloved Pawtuckett Patriot beer is nothing but a lesser knock-off of Homer’s equally-beloved Duff (Peter: « It may have been ‘inspired by’ Duff, but I’d like to think it goes in a different direction. » – GET IT???) escalates into a citywide brawl. Also glimpsed in the footage: Bart and Stewie have… « different » interpretations of a prank phone-call, and Peter teaches Homer how to do a cutaway gag.

Simpsons Guy Will actually be the first of two crossovers for the iconic animated family – a subsequent November episode of their own series, titled « Simpsorama, » will see them encounter the time-traveling cast of Futurama. In addition, August will see the debut of The Simpsons in cable syndication on FXX, beginning with a record-breaking 12-day marathon of all 552 episodes and the launch of the Simpsons World app, which will stream not only full episodes but also clips searchable by character, quote and keyword.

-David

Batman V Superman – Premier aperçu au San Diego Comic Con

http://youtu.be/gn4fBnWy7Ys

Hier durant la conférence de Warner Bros. qui se tenait dans le cadre du Comic Con International de San Diego, les gens rassemblés dans la célèbre salle H ont eu la chance de voir un aperçu de Batman V Superman: Dawn of Justice.

Présenté par le réalisateur du film, Zack Snyder, le court vidéo débute sur Batman que l’on retrouve sur le toit de ce qui pourrait être le commissariat de police de Gotham. Vêtu d’une amure ressemblant à celle qu’il porte dans la série la BD de The Dark Knight Returns, ce dernier allume le Batsignal révélant par la même occasion Superman flottant dans le ciel.

Jetez un coup d’oeil à cette version non officielle de vidéo de présentation avant que celui-ci soit retiré de YouTube.

– Benoit Mercier

Fantasia 2014 – Goal of the Dead

Goal of the Dead des réalisateurs Benjamin Rocher et Thierry Poiraud s’inscrit comme l’une des plus récentes productions qui s’efforcer de revisiter le genre des films de zombies. Dans la même veine que le long-métrage Shaun of the Dead d’Egar Wright, le film français combine à la fois les scènes d’action de comédie et des séquences sanglantes plutôt efficaces qui seront satisfaire les adeptes du genre.

Samuel Lorit (Alban Lenoir) est un joueur de football chevronné qui retourne dans son village natal afin d’y participer à un match lourd de sens pour ses habitants. Sa venue est malheureusement attendue avec beaucoup d’appréhension de la par les résidents du patelin qui  le considèrent comme un traitre et la cause de tous leurs malheurs. Ce qui aurait pu être une rencontre sportive amicale vire au vinaigre lorsqu’un joueur contaminé par une infection étrange pénètre dans le stade transformant au passage athlètes et villageois en zombies. S’il veut s’en sortir vivant, Samuel n’a nul autre choix que de s’allier avec ses anciens concitoyens faisant face par la même occasion à son passé.

Goal of the Dead aurait facilement pu être qu’une succession d’effets spéciaux tapissés d’hémoglobine et de tripes, mais il n’en est rien. En effet, sans toutefois alourdir le rythme du récit, Rocher et Poiraud s’efforcent de construire une histoire tragique pour leur personnage. Ce dernier, sympathique au départ, peut se montrer aussi méprisant et c’est avec une certaine ambiguïté qu’on le voit agir.

Le football européen, ou le soccer comme on le nomme ici, est un prétexte à un scénario qui ne s’éloigne que très peu des sentiers empruntés habituellement par ce type de production sans pour autant être prévisible. Malgré tout, les références à ce sport pleuvent, même si on désire un lien plus étroit entre la discipline et la prémisse du film.

La réalisation des scènes d’action quant à elles n’est égalée en qualité que par la photographie. Chaque coup, explosions et fractures sont bien senties et c’est avec beaucoup d’enthousiasme que le public de Fantasia, on s’en doute, en redemandait encore. Les dialogues mordants ponctués d’expressions typiquement françaises ajoutent à une mise en scène déjà survoltée.

Sans révolutionner le genre, Goal of the Dead livre exactement ce que le film semblait promette au départ. Soit un récit mouvementé, bourré d’action et de rebondissements avec des acteurs chaleureux et hilarants dès le premier regard.

– Benoit Mercier

 

Fantasia 2014 – Ingtoogi: The Battle of Internet Trolls

La cyberintimidation est un sujet chaud de l’heure. On ne peut plus compter le nombre de fois qu’on a vu passer aux nouvelles l’histoire d’un adolescent ou d’une jeune adolescente qui s’est terminée dans le drame après que celui ou celle-ci s’est fait harceler à répétition sur Internet. Il s’agit d’un sujet particulièrement grave duquel il est difficile de rire ou de déconstruire sans tomber dans l’humour de mauvais goût.

Pourtant, Ingtoogi: The Battle of Internet Trolls y parvient et désamorce rapidement toute ombre d’appréhensions négatives que l’on pourrait avoir à son égard. Il n’est pas question ici de rire du malheur des «cyberintimidés» ou des gens qui subissent une quelconque forme de violence psychologique ou physique, mais plutôt d’utiliser ce contexte pour raconter un curieux récit à la fois touchant, drôle et profondément étrange.

Tae-sik (Um Tae-goo) se livre depuis un certain temps à une joute d’insultes en ligne avec «Manboobs», un internaute dont il ne connait pas l’identité. Leur petit jeu prendra pourtant une dimension bien réelle le jour ou son adversaire l’entrainera sous prétextes dans un guet-apens durant lequel Tae-sik sera agressé violemment. L’évènement est enregistré et fera bientôt le tour de l’Internet en Corée ce qui marquera profondément le jeune homme. Avec l’aide de son meilleur ami Hee-joon (Kwon Yul) et d’une jeune fille nommée Young-ja, ce dernier partira à la recherche de son ennemi sur qui il jure de se venger. Une quête difficile à porter pour ce personnage qui à tous les traits d’un perdant.

Le film délaisse l’humour bouffon et les gages grossiers pour s’aventurer dans des zones plus sombres rarement approchées par les comédies américaines classiques. Le caractère comique du long-métrage s’incarne principalement dans la psychologie de ses personnages qui sont complètement déments et dont les agissements sont houleux au mieux. La jeune Kwon Yul en est spécialement un bon exemple. Son personnage, Hee-joon, est déstabilisant et c’est avec beaucoup de curiosité qu’on la voie multiplier des actions répréhensibles qui contrastent avec les rares moments où elle se montre vulnérable.

Malgré son caractère excentrique, le film reste ancré dans un profond sentiment de réalisme ce qui rend la souffrance de Tae-sik d’autant plus prenante. Bien que maladroit et peu sociable, on demeure sympathique à son parcours et sa souffrance qui est incarné avec brio par Um Tae-goo. On sent le bagage émotionnel lourd d’un jeune homme pour lequel on voudrait venir en aide autant que l’on voudrait le frapper derrière la tête.

Le réalisateur et scénariste Um Tae-hwa n’offre pas de solution à l’intimidation virtuelle. Là n’est pas le but de son oeuvre qui se veut surtout une fenêtre sur un univers étrange où chacun fait preuve d’actes immoraux. La violence entraine la violence et ceux qui, initialement, semblaient justifier d’obtenir justice finissent par devenir aussi dangereux que leurs bourreaux. De la cruauté qui, malgré tout, est divertissante.

– Benoit Mericer